Benedict Oramah a d’abord rappelé que l’Afrique est touchée de manière disproportionnée par les effets du changement climatique mondial, bien qu’elle soit responsable de moins de 4 % des émissions mondiales. Il a ajouté que les pertes de croissance économique, les migrations et l’instabilité régionale représentent des effets négatifs importants du changement climatique sur le continent qui s’intensifieront probablement au cours de la prochaine décennie.
Par conséquent, a-t-il dit : « Nous sommes arrivés à un point où agir n’est pas seulement synonyme de bonne gestion de l’environnement, mais doit également être considéré comme une politique économique saine, étant donné que le coût d’une action immédiate et décisive est bien inférieur au coût de l’inaction et des efforts tardifs ».
A l’en croire, la question du financement de l’adaptation au climat en Afrique et dans les États insulaires des Caraïbes est devenue une urgence. A ce titre, il a confié que la participation de la banque à la Cop29 est une occasion de défendre les priorités climatiques de l’Afrique et des Caraïbes, d’amplifier leur voix dans les discussions mondiales et de faire pression pour un financement climatique urgent.
Le Professeur Oramah a ajouté, dans la foulée, que les ressources financières et les investissements judicieux sont essentiels pour lutter contre le changement climatique, réduire les émissions, encourager l’adaptation et renforcer la résilience.
L’Afrique par exemple, a-t-il expliqué, a besoin de 1 300 milliards de dollars US à 1 600 milliards de dollars US de financement climatique total chaque année jusqu’en 2030 pour répondre à ses besoins urgents.
En tant que partenaire commercial et de développement pour l’Afrique et la communauté des Caraïbes, Afreximbank plaidera pour des politiques et des investissements visant à accélérer la transition énergétique de l’Afrique, en développant de manière responsable les ressources naturelles abondantes du continent, en assurant une infrastructure adéquate en vue de réduire la pauvreté énergétique, faciliter les échanges et positionner le continent pour une transition énergétique accélérée et appropriée.
En outre, Afreximbank plaidera pour une intensification du Nouvel objectif collectif quantifié sur le financement climatique (NCQG), pour remplacer l’engagement précédent de 100 milliards de dollars qui a connu un décaissement inadéquat.
Dans un communiqué, la banque dit qu’elle fera en outre pression pour des mécanismes financiers comme les obligations vertes, les prêts concessionnels et les marchés du carbone en vue de financer les projets climatiques de l’Afrique.
Bassirou MBAYE
Par conséquent, a-t-il dit : « Nous sommes arrivés à un point où agir n’est pas seulement synonyme de bonne gestion de l’environnement, mais doit également être considéré comme une politique économique saine, étant donné que le coût d’une action immédiate et décisive est bien inférieur au coût de l’inaction et des efforts tardifs ».
A l’en croire, la question du financement de l’adaptation au climat en Afrique et dans les États insulaires des Caraïbes est devenue une urgence. A ce titre, il a confié que la participation de la banque à la Cop29 est une occasion de défendre les priorités climatiques de l’Afrique et des Caraïbes, d’amplifier leur voix dans les discussions mondiales et de faire pression pour un financement climatique urgent.
Le Professeur Oramah a ajouté, dans la foulée, que les ressources financières et les investissements judicieux sont essentiels pour lutter contre le changement climatique, réduire les émissions, encourager l’adaptation et renforcer la résilience.
L’Afrique par exemple, a-t-il expliqué, a besoin de 1 300 milliards de dollars US à 1 600 milliards de dollars US de financement climatique total chaque année jusqu’en 2030 pour répondre à ses besoins urgents.
En tant que partenaire commercial et de développement pour l’Afrique et la communauté des Caraïbes, Afreximbank plaidera pour des politiques et des investissements visant à accélérer la transition énergétique de l’Afrique, en développant de manière responsable les ressources naturelles abondantes du continent, en assurant une infrastructure adéquate en vue de réduire la pauvreté énergétique, faciliter les échanges et positionner le continent pour une transition énergétique accélérée et appropriée.
En outre, Afreximbank plaidera pour une intensification du Nouvel objectif collectif quantifié sur le financement climatique (NCQG), pour remplacer l’engagement précédent de 100 milliards de dollars qui a connu un décaissement inadéquat.
Dans un communiqué, la banque dit qu’elle fera en outre pression pour des mécanismes financiers comme les obligations vertes, les prêts concessionnels et les marchés du carbone en vue de financer les projets climatiques de l’Afrique.
Bassirou MBAYE