Dans son discours, il a souligné qu’au cours des trois prochaines décennies, l’Afrique connaîtra l'augmentation la plus rapide de la population, avec une augmentation nette prévue de 740 millions de personnes d'ici 2050. Cette donne peut selon lui, permettre au continent de réaliser pleinement son potentiel humain.
Cependant, nous avons l’opportunité de surmonter plusieurs défis en matière de développement. En améliorant l’accès aux services essentiels tels que l’énergie, le transport, et l’eau et l’assainissement, nous pouvons stimuler les activités économiques sur le continent.
«Comme vous le savez, l'action du Groupe de la Banque mondiale s’articule autour d’un certain nombre de problématiques à savoir : faire face aux crises climatiques et à l’insécurité alimentaire tout en renforçant la résilience ; protéger les populations vulnérables, renforcer le capital humain et créer des emplois », a expliqué Ousmane Diagana.
Il a affirmé que nous ne pourrions en aucun cas faire face à ces défis sans régler la problématique de l’eau. Avec l’augmentation de la population et le changement climatique, a-t-il dit, nous avons l’opportunité de repenser nos méthodes et pratiques pour améliorer l’accès à l’eau. «Certes, nous sommes confrontés à une crise mondiale de l’eau, mais il n’est pas trop tard pour œuvrer tous ensemble à l’élaboration d’interventions pour y remédier. Les solutions existent, tant sous la forme de financement que d’expertise technique, et un partenariat solide est le meilleur moyen d’y parvenir », a déclaré le vice-président de la Banque mondiale.
Reconnaissant donc qu’il n’y a pas de développement sans eau, la Banque mondiale, informe Ousmane Diagana, a lancé ce printemps un nouveau programme, dénommé en anglais Fast track water security and climate adaptation global challenge program. L’objectif, a ajouté M. Diagana, est de renforcer la sécurité hydrique à l’aune de la nécessaire adaptation climatique. Il a relevé que la Banque mondiale s’emploie à mobiliser des instruments de financement, mais aussi les autres leviers que constituent les connaissances et les partenariats. M. Diagana rappelle que la Banque mondiale entretient un partenariat de longue date avec le Gouvernement du Sénégal et aussi avec chacun des bailleurs ici présents.
«Donc, ensemble, et en se basant sur la force collective du Groupe de la Banque mondiale en se rapprochant de la Société financière internationale (Ifc) et de l’Agence multilatérale de garantie des investissements (Miga) pour concrétiser des projets dans le secteur de l’eau – un domaine de développement prioritaire », a confié le vice-président de la Banque mondiale.
«Nous restons persuadés que garantir l’accès de tous à l’eau et à l’assainissement et assurer une gestion durable des ressources en eau ne pourra se faire sans un partenariat tripartite entre les pays, les institutions bilatérales/multilatérales et le secteur privé pour faire face à ces défis et trouver des solutions de développement pérennes.
Ces partenariats constituent le socle de la sécurité de l’eau de demain. Ils favorisent, et offrent un cadre pour le partage des connaissances, la mobilisation de financements et la fourniture d’une assistance technique », a fait savoir Ousmane Diagana. Notre espoir, soutient-il, réside donc dans les stratégies et les feuilles de route que définissent les pays pour définir les reformes et les investissements permettant d’atteindre les objectifs de développement. Il a relevé que notre espoir réside aussi dans l’harmonisation des objectifs des bailleurs afin d’établir une plateforme de Financement pour l’accès universel à l’eau.
Adou FAYE
Cependant, nous avons l’opportunité de surmonter plusieurs défis en matière de développement. En améliorant l’accès aux services essentiels tels que l’énergie, le transport, et l’eau et l’assainissement, nous pouvons stimuler les activités économiques sur le continent.
«Comme vous le savez, l'action du Groupe de la Banque mondiale s’articule autour d’un certain nombre de problématiques à savoir : faire face aux crises climatiques et à l’insécurité alimentaire tout en renforçant la résilience ; protéger les populations vulnérables, renforcer le capital humain et créer des emplois », a expliqué Ousmane Diagana.
Il a affirmé que nous ne pourrions en aucun cas faire face à ces défis sans régler la problématique de l’eau. Avec l’augmentation de la population et le changement climatique, a-t-il dit, nous avons l’opportunité de repenser nos méthodes et pratiques pour améliorer l’accès à l’eau. «Certes, nous sommes confrontés à une crise mondiale de l’eau, mais il n’est pas trop tard pour œuvrer tous ensemble à l’élaboration d’interventions pour y remédier. Les solutions existent, tant sous la forme de financement que d’expertise technique, et un partenariat solide est le meilleur moyen d’y parvenir », a déclaré le vice-président de la Banque mondiale.
Reconnaissant donc qu’il n’y a pas de développement sans eau, la Banque mondiale, informe Ousmane Diagana, a lancé ce printemps un nouveau programme, dénommé en anglais Fast track water security and climate adaptation global challenge program. L’objectif, a ajouté M. Diagana, est de renforcer la sécurité hydrique à l’aune de la nécessaire adaptation climatique. Il a relevé que la Banque mondiale s’emploie à mobiliser des instruments de financement, mais aussi les autres leviers que constituent les connaissances et les partenariats. M. Diagana rappelle que la Banque mondiale entretient un partenariat de longue date avec le Gouvernement du Sénégal et aussi avec chacun des bailleurs ici présents.
«Donc, ensemble, et en se basant sur la force collective du Groupe de la Banque mondiale en se rapprochant de la Société financière internationale (Ifc) et de l’Agence multilatérale de garantie des investissements (Miga) pour concrétiser des projets dans le secteur de l’eau – un domaine de développement prioritaire », a confié le vice-président de la Banque mondiale.
«Nous restons persuadés que garantir l’accès de tous à l’eau et à l’assainissement et assurer une gestion durable des ressources en eau ne pourra se faire sans un partenariat tripartite entre les pays, les institutions bilatérales/multilatérales et le secteur privé pour faire face à ces défis et trouver des solutions de développement pérennes.
Ces partenariats constituent le socle de la sécurité de l’eau de demain. Ils favorisent, et offrent un cadre pour le partage des connaissances, la mobilisation de financements et la fourniture d’une assistance technique », a fait savoir Ousmane Diagana. Notre espoir, soutient-il, réside donc dans les stratégies et les feuilles de route que définissent les pays pour définir les reformes et les investissements permettant d’atteindre les objectifs de développement. Il a relevé que notre espoir réside aussi dans l’harmonisation des objectifs des bailleurs afin d’établir une plateforme de Financement pour l’accès universel à l’eau.
Adou FAYE