En effet, sur la base des données disponibles à fin mars 2016, le profil des finances publiques des Etats membres de l'Union laisse apparaître globalement un accroissement plus important des recettes par rapport aux dépenses, en glissement annuel, induisant une atténuation du déficit global, base engagements, dons compris, qui ressort à 251,7 milliards contre 355,2 milliards un an plus tôt.
Selon toujours la même source, les recettes budgétaires totales des Etats membres de l'Union sont ressorties à 2.451,1 milliards contre 2.275,8 milliards un an plus tôt, soit une hausse de 7,7%. Cette progression a été principalement induite par une augmentation de 12,0% des recettes fiscales qui se sont situées à 2.190,9 milliards. Les dons budgétaires sont estimés à 147,8 milliards, en repli de 22,2% par rapport au premier trimestre 2015.
Pour leur part, ajoute le document de la BCEAO, les dépenses et prêts nets se sont accrus de 1,1%, en passant de 2.820,8 milliards à fin mars 2015 à 2.850,6 milliards à fin mars 2016. Cette situation s'explique essentiellement par l'augmentation des dépenses courantes (+105,8 milliards ou 5,9%).
Pathé TOURE
Selon toujours la même source, les recettes budgétaires totales des Etats membres de l'Union sont ressorties à 2.451,1 milliards contre 2.275,8 milliards un an plus tôt, soit une hausse de 7,7%. Cette progression a été principalement induite par une augmentation de 12,0% des recettes fiscales qui se sont situées à 2.190,9 milliards. Les dons budgétaires sont estimés à 147,8 milliards, en repli de 22,2% par rapport au premier trimestre 2015.
Pour leur part, ajoute le document de la BCEAO, les dépenses et prêts nets se sont accrus de 1,1%, en passant de 2.820,8 milliards à fin mars 2015 à 2.850,6 milliards à fin mars 2016. Cette situation s'explique essentiellement par l'augmentation des dépenses courantes (+105,8 milliards ou 5,9%).
Pathé TOURE