Selon le ministre de l’économie, des finances et du plan Amadou Bâ, l’évolution notée du budget en 2017 est imputable à la fois aux ressources internes et aux ressources externes qui progressent respectivement de 11,4% et 10,4%.
Les ressources internes sont ainsi évaluées à 2182,1 milliards de FCFA dans la Loi des finances initiale (LFI) de 2017, contre 1958,7 milliards pour celle de 2016.
Elles sont constituées principalement de recettes ordinaires hors dons pour 2084,1 milliards FCFA, de dons budgétaires à hauteur de 35 milliards FCFA et de recettes exceptionnelles pour 63 milliards FCFA.
Quant aux ressources externes, elles ont connu une hausse de 10,4%. Selon le ministre la confiance des partenaires techniques et financiers se traduit ainsi par le niveau important de mobilisation des financements extérieurs. Il avance que, « dans la loi de finance initiale (LFI) 2017, les dons budgétaires sont projetés à 35 milliards FCFA, les recettes exceptionnelles liées aux initiatives d’allégement de la dette à 63 milliards FCFA et les dons en capital, d’emprunts-projets et d’emprunt-programmes à 1066 milliards FCFA ».
Concernant les prévisions de dépenses du budget général établies à 3.360 milliards FCFA, connaissent une augmentation de 337,6 milliards FCFA par rapport à la LFI de 2016. Ces prévisions sont constituées essentiellement de dépenses ordinaires pour un montant de 2022,9 milliards FCFA (contre 1879,6 milliards en 2016, de dépenses d’investissement évaluées à 1225,2 milliards FCFA et des dépenses des comptes spéciaux du trésor (11,9 milliards).
El Hadj Diakhaté
Les ressources internes sont ainsi évaluées à 2182,1 milliards de FCFA dans la Loi des finances initiale (LFI) de 2017, contre 1958,7 milliards pour celle de 2016.
Elles sont constituées principalement de recettes ordinaires hors dons pour 2084,1 milliards FCFA, de dons budgétaires à hauteur de 35 milliards FCFA et de recettes exceptionnelles pour 63 milliards FCFA.
Quant aux ressources externes, elles ont connu une hausse de 10,4%. Selon le ministre la confiance des partenaires techniques et financiers se traduit ainsi par le niveau important de mobilisation des financements extérieurs. Il avance que, « dans la loi de finance initiale (LFI) 2017, les dons budgétaires sont projetés à 35 milliards FCFA, les recettes exceptionnelles liées aux initiatives d’allégement de la dette à 63 milliards FCFA et les dons en capital, d’emprunts-projets et d’emprunt-programmes à 1066 milliards FCFA ».
Concernant les prévisions de dépenses du budget général établies à 3.360 milliards FCFA, connaissent une augmentation de 337,6 milliards FCFA par rapport à la LFI de 2016. Ces prévisions sont constituées essentiellement de dépenses ordinaires pour un montant de 2022,9 milliards FCFA (contre 1879,6 milliards en 2016, de dépenses d’investissement évaluées à 1225,2 milliards FCFA et des dépenses des comptes spéciaux du trésor (11,9 milliards).
El Hadj Diakhaté