«Globalement, le déficit budgétaire, dons compris, est attendu à 1045,4 milliards, soit 5,5% du Pib en 2023, contre 1054,2 milliards (6,1% du PIB) en 2022.
En 2024, Les ressources globales sont programmées à 4915,2 milliards contre 4096,4 milliards dans la Lfi 2023, soit un accroissement 818,8 milliards en valeur absolue et de 20,0%, en valeur relative. S’agissant des dépenses du budget général, elles sont programmées à 5755,4 milliards pour l’année 2024, soit une hausse de 11,5% par rapport à la LFI 2023. Au total, le déficit budgétaire, dons compris, est attendu à 840,2 milliards, soit 3,9% du Pib en 2024 », lit-on dans le document.
Selon la même source, le déficit de la balance commerciale devrait s’établir à 2277,0 milliards en 2024, contre 2597,1 milliards en 2023, soit une amélioration de 320,1 milliards en liaison avec une hausse des exportations (+480,7 milliards) plus prononcée que celle des importations de biens (+160,6 milliards). La part des exportations de biens et services dans le PIB devrait se replier de 0,6 point de pourcentage, passant de 24,5% à 23,9%, entre 2023 et 2024.
Quant aux importations de biens et services, le poids par rapport au Pib devrait également se replier de 5,0 points de pourcentage en 2024, passant de 45,5% en 2023 à 40,5%.
Le déficit du compte courant est projeté à 2431,0 milliards (11,3% du Pib en 2024 contre 2855,8 milliards (15,1% du Pib) en 2023, soit une atténuation de 424,8 milliards. Cette performance serait imputable, principalement, au renforcement du solde de la balance des biens (+320,1 milliards), du solde du revenu secondaire (+85,9 milliards) et de la balance des services (+63,2 milliards).
En définitive, le solde global de la balance des paiements devrait afficher un excédent de 79,8 milliards en 2024 contre un déficit de 155,5 milliards prévu pour 2023.
Adou FAYE
En 2024, Les ressources globales sont programmées à 4915,2 milliards contre 4096,4 milliards dans la Lfi 2023, soit un accroissement 818,8 milliards en valeur absolue et de 20,0%, en valeur relative. S’agissant des dépenses du budget général, elles sont programmées à 5755,4 milliards pour l’année 2024, soit une hausse de 11,5% par rapport à la LFI 2023. Au total, le déficit budgétaire, dons compris, est attendu à 840,2 milliards, soit 3,9% du Pib en 2024 », lit-on dans le document.
Selon la même source, le déficit de la balance commerciale devrait s’établir à 2277,0 milliards en 2024, contre 2597,1 milliards en 2023, soit une amélioration de 320,1 milliards en liaison avec une hausse des exportations (+480,7 milliards) plus prononcée que celle des importations de biens (+160,6 milliards). La part des exportations de biens et services dans le PIB devrait se replier de 0,6 point de pourcentage, passant de 24,5% à 23,9%, entre 2023 et 2024.
Quant aux importations de biens et services, le poids par rapport au Pib devrait également se replier de 5,0 points de pourcentage en 2024, passant de 45,5% en 2023 à 40,5%.
Le déficit du compte courant est projeté à 2431,0 milliards (11,3% du Pib en 2024 contre 2855,8 milliards (15,1% du Pib) en 2023, soit une atténuation de 424,8 milliards. Cette performance serait imputable, principalement, au renforcement du solde de la balance des biens (+320,1 milliards), du solde du revenu secondaire (+85,9 milliards) et de la balance des services (+63,2 milliards).
En définitive, le solde global de la balance des paiements devrait afficher un excédent de 79,8 milliards en 2024 contre un déficit de 155,5 milliards prévu pour 2023.
Adou FAYE