Le comité de pilotage du Fonds social de développement mis en place par le nouveau protocole d’accord du FSD, qui a été signé le 13 Septembre dernier par la France et le Sénégal vient de décliner les orientations et le suivi du dispositif du FSD. « Cette nouvelle version du FSD est destinée à accélérer la modernisation de l'espace rural sénégalais et l'émergence de pôles viables de développement territorial » a soutenu le secrétaire général-adjoint de la présidence de la République, Oumar Samba Ba. Selon lui, « il constituera un accélérateur supplémentaire de la modernisation de l'espace rural sénégalais ainsi que de l'émergence de pôles viables de développement territorial ». Il affirme que la rencontre de ce jour vise « à échanger sur les orientations de ce dispositif novateur qui consacre une rupture profonde ».
Ce fonds engagé au Sénégal depuis 1997 a mobilisé sur cette période près de 4 milliards de FCFA et soutenu 157 projets d'un montant moyen de 25 millions. Par ailleurs, dans sa nouvelle version, le Fonds social de développement engage un tournant majeur en impliquant davantage la partie sénégalaise dans sa mise en œuvre notamment dans le pilotage stratégique et opérationnelle du dispositif. « La rupture est notée autant dans sa gouvernance que dans ses stratégies » en vue de répondre efficacement « aux aspirations et préoccupations de développement des populations, des pouvoirs publics et de la société civile » a déclaré Oumar Samba Ba. Il poursuit pour signaler que le FSD vise « à appuyer les initiatives de développement économique et sociales portées par la société civile et les collectivités locales ». C'est d'ailleurs pour cela que « le gouvernement du Sénégal a mobilisé pour la période 2013-2015, outre des moyens matériels et techniques, près de 200 milliards de francs FCfa. Ce qui veut dire que « le FSD Sénégal est le premier dispositif bilatéral français dans le monde mobilisant une contrepartie de l'Etat bénéficiaire » renseigne le secrétaire général adjoint de la présidence de la République.
Ceci montre « l'engagement du gouvernement à renforcer sa contribution financière dans le temps pour appuyer la Société civile » indique Oumar Samba Ba. Mais aussi l’importance primordiale que « le gouvernement du Sénégal accorde à la bonne gouvernance et à la contribution de la société civile dans la marche résolue de notre pays vers l'émergence et la prospérité durable de nos populations » a-t-il ajouté. C'est pourquoi, Oumar Samba Ba reste persuadé que « la société civile saura trouver à ce FSD, une nouvelle formule et un appui efficace à ses spécificités ». Car de par son dynamisme, « elle a toujours démontré sa capacité de pilotage d'actions de développement à la base ». A ce propos, l’ambassadeur de France au Sénégal Jean Félix Paganon informe que « ce dispositif s'adresse essentiellement à la Société civile ». Il précise que « le financement de ce nouveau FSD a fusionné deux enveloppes à savoir celle de la Casamance et le reste des régions ». Il explique que l'exécution de projets de développement en Casamance se situe « dans le prolongement naturel de l’orientation du président de la République de faire de la Casamance une référence en ce qui concerne l’acte III de la décentralisation. Il faut rappeler que, les secteurs couverts sont : la santé, l'éducation, l'environnement, l'eau et l'assainissement, les droits humains et la préservation des ressources naturelles.
Amy Diallo
Ce fonds engagé au Sénégal depuis 1997 a mobilisé sur cette période près de 4 milliards de FCFA et soutenu 157 projets d'un montant moyen de 25 millions. Par ailleurs, dans sa nouvelle version, le Fonds social de développement engage un tournant majeur en impliquant davantage la partie sénégalaise dans sa mise en œuvre notamment dans le pilotage stratégique et opérationnelle du dispositif. « La rupture est notée autant dans sa gouvernance que dans ses stratégies » en vue de répondre efficacement « aux aspirations et préoccupations de développement des populations, des pouvoirs publics et de la société civile » a déclaré Oumar Samba Ba. Il poursuit pour signaler que le FSD vise « à appuyer les initiatives de développement économique et sociales portées par la société civile et les collectivités locales ». C'est d'ailleurs pour cela que « le gouvernement du Sénégal a mobilisé pour la période 2013-2015, outre des moyens matériels et techniques, près de 200 milliards de francs FCfa. Ce qui veut dire que « le FSD Sénégal est le premier dispositif bilatéral français dans le monde mobilisant une contrepartie de l'Etat bénéficiaire » renseigne le secrétaire général adjoint de la présidence de la République.
Ceci montre « l'engagement du gouvernement à renforcer sa contribution financière dans le temps pour appuyer la Société civile » indique Oumar Samba Ba. Mais aussi l’importance primordiale que « le gouvernement du Sénégal accorde à la bonne gouvernance et à la contribution de la société civile dans la marche résolue de notre pays vers l'émergence et la prospérité durable de nos populations » a-t-il ajouté. C'est pourquoi, Oumar Samba Ba reste persuadé que « la société civile saura trouver à ce FSD, une nouvelle formule et un appui efficace à ses spécificités ». Car de par son dynamisme, « elle a toujours démontré sa capacité de pilotage d'actions de développement à la base ». A ce propos, l’ambassadeur de France au Sénégal Jean Félix Paganon informe que « ce dispositif s'adresse essentiellement à la Société civile ». Il précise que « le financement de ce nouveau FSD a fusionné deux enveloppes à savoir celle de la Casamance et le reste des régions ». Il explique que l'exécution de projets de développement en Casamance se situe « dans le prolongement naturel de l’orientation du président de la République de faire de la Casamance une référence en ce qui concerne l’acte III de la décentralisation. Il faut rappeler que, les secteurs couverts sont : la santé, l'éducation, l'environnement, l'eau et l'assainissement, les droits humains et la préservation des ressources naturelles.
Amy Diallo