Le séminaire de haut niveau sur l’architecture financière internationale, s’est ouvert à Paris. Parmi les participants, il y a le ministre de l’Economie, des Finances et du Plan, Amadou Bâ.
En effet, le séminaire a rassemblé plusieurs personnalités dont la Directrice générale du Fonds monétaire international, des ministres en charge des finances de 25 pays européens, africains, américains, et asiatiques, des Gouverneurs de Banques centrales et des universitaires, précise la même source.
Après la séance plénière, Amadou Ba a pris part au panel sur les filets de sécurité financière mondiale. Dans son intervention, il a souligné que les pays africains ont besoin de pouvoir compter sur des perspectives encore plus fermes de stabilité, de liquidité et de résilience à la transmission des chocs qui frappent le système monétaire et financier international, en perspective du prochain Sommet de Hangzhou, en République populaire de Chine, renseigne la source.
S’agissant de la question de l’internationalisation des monnaies, elle traduit d’abord du point du vue du Sénégal, la responsabilité assumée de chacune des nations ou zones partenaires qui s’y engagent, à prendre toute la mesure de la dimension du rôle de son économie dans les échanges internationaux.
A travers l’internationalisation des monnaies comme leur prise en compte dans la détermination de la valeur du DTS, le Sénégal et les pays africains de la zone franc CFA, voudraient également trouver dans l’équilibre des taux de change, un encouragement à plus de productivité et de qualité des produits proposés aux échanges internationaux, a relevé Amadou Bâ.
Pathé TOURE
En effet, le séminaire a rassemblé plusieurs personnalités dont la Directrice générale du Fonds monétaire international, des ministres en charge des finances de 25 pays européens, africains, américains, et asiatiques, des Gouverneurs de Banques centrales et des universitaires, précise la même source.
Après la séance plénière, Amadou Ba a pris part au panel sur les filets de sécurité financière mondiale. Dans son intervention, il a souligné que les pays africains ont besoin de pouvoir compter sur des perspectives encore plus fermes de stabilité, de liquidité et de résilience à la transmission des chocs qui frappent le système monétaire et financier international, en perspective du prochain Sommet de Hangzhou, en République populaire de Chine, renseigne la source.
S’agissant de la question de l’internationalisation des monnaies, elle traduit d’abord du point du vue du Sénégal, la responsabilité assumée de chacune des nations ou zones partenaires qui s’y engagent, à prendre toute la mesure de la dimension du rôle de son économie dans les échanges internationaux.
A travers l’internationalisation des monnaies comme leur prise en compte dans la détermination de la valeur du DTS, le Sénégal et les pays africains de la zone franc CFA, voudraient également trouver dans l’équilibre des taux de change, un encouragement à plus de productivité et de qualité des produits proposés aux échanges internationaux, a relevé Amadou Bâ.
Pathé TOURE