M. Moussa Seck, président de la Pan African Agriculture and agrobusiness Consortium Plateforme (PANAAC)
M. Seck s’exprimait lors d’un panel sur l’agriculture en Afrique et entrant dans le cadre du premier forum économique de la francophonie.
Il a ainsi plaidé pour l’irrigation des terres où l’Afrique est en retard. Selon lui, l’Afrique irrigue un million d’hectares par an alors qu’elle a un potentiel de 300 millions hectares.
Sur un autre registre, Pape Abdoulaye Seck le ministre de l’agriculture et de l’équipement rural est d’avis que « le crédit est un intrant stratégique pour développer l’agriculture en Afrique ». Selon lui, il permet d’augmenter la productivité agricole et le taux d’intérêt doit être le plus bas possible. De l’avis toujours de M. Seck, la terre est devenue un enjeu important sur toute la planète.
Pour sa part, Mme Martine Norman vice-présidente du conseil d’administration de l’ONG canadienne SACO est d’avis qu’investir dans le secteur agro-alimentaire en Afrique constitue un vrai investissement eu égard au fait que d’ici 2050 la population africaine va doubler. « C’est une opportunité d’affaires pour les organisations de producteurs », laisse-t-elle entendre.
Ismaila BA
Il a ainsi plaidé pour l’irrigation des terres où l’Afrique est en retard. Selon lui, l’Afrique irrigue un million d’hectares par an alors qu’elle a un potentiel de 300 millions hectares.
Sur un autre registre, Pape Abdoulaye Seck le ministre de l’agriculture et de l’équipement rural est d’avis que « le crédit est un intrant stratégique pour développer l’agriculture en Afrique ». Selon lui, il permet d’augmenter la productivité agricole et le taux d’intérêt doit être le plus bas possible. De l’avis toujours de M. Seck, la terre est devenue un enjeu important sur toute la planète.
Pour sa part, Mme Martine Norman vice-présidente du conseil d’administration de l’ONG canadienne SACO est d’avis qu’investir dans le secteur agro-alimentaire en Afrique constitue un vrai investissement eu égard au fait que d’ici 2050 la population africaine va doubler. « C’est une opportunité d’affaires pour les organisations de producteurs », laisse-t-elle entendre.
Ismaila BA