
«Bp a fait état d’une fuite de gaz. Les équipes techniques des administrations maintiennent les échanges avec l’Opérateur, Bp, qui a la responsabilité de déployer les moyens techniques requis afin de limiter, voire éviter tout impact sur l’écosystème », lit-on dans le document.
Les deux départements ministériels soutiennent que l’État a exigé de l’Opérateur qu’il prenne toutes les mesures nécessaires pour assurer la gestion rigoureuse de cette situation en veillant à ce que les opérations soient conduites dans le strict respect des meilleures pratiques de l’industrie pétrolière internationale telles que reprises par le cadre légal et contractuel applicable.
«Bp est ainsi tenue de déployer tous les moyens nécessaires afin de limiter les impacts potentiels et de mettre en place une solution rapide et pérenne pour résoudre l’incident. A date, l’Opérateur informe avoir identifié des solutions possibles pour réparer la fuite dans les plus brefs délais et qu’il travaille actuellement à leur mise en œuvre », renseigne le communiqué.
Une surveillance multimodale de la zone est maintenue pour apprécier et suivre, autant que possible, l’impact de l’incident. Il s’agit d’une surveillance régulière du plan d’eau autour du site par survols d’hélicoptères et de drones. Le survol d’hélicoptère du 06 mars 2025, assuré conjointement par les deux administrations, n’a pas révélé d’anomalie visible ; une surveillance sous-marine permanente , par véhicule sous-marin téléguidé (Rov), est maintenue pour suivre l’évolution de la fuite ; une surveillance satellitaire sur la zone est maintenue en temps réel. En plus, les Marines nationales assurent une présence permanente dans la zone pour sécurisation.
«La situation est suivie de près par les administrations, en parfaite coordination, conformément à leurs prérogatives respectives. Dans ce cadre, des éléments précis sont collectés pour, notamment, alimenter une communication institutionnelle transparente et claire de la situation », note la même source.
Les administrations sénégalaises, en rapport avec leurs homologues mauritaniens, disent poursuivre le suivi rapproché de l’évolution de l’incident et tiendront l’opinion publique informée.
Adou FAYE
Les deux départements ministériels soutiennent que l’État a exigé de l’Opérateur qu’il prenne toutes les mesures nécessaires pour assurer la gestion rigoureuse de cette situation en veillant à ce que les opérations soient conduites dans le strict respect des meilleures pratiques de l’industrie pétrolière internationale telles que reprises par le cadre légal et contractuel applicable.
«Bp est ainsi tenue de déployer tous les moyens nécessaires afin de limiter les impacts potentiels et de mettre en place une solution rapide et pérenne pour résoudre l’incident. A date, l’Opérateur informe avoir identifié des solutions possibles pour réparer la fuite dans les plus brefs délais et qu’il travaille actuellement à leur mise en œuvre », renseigne le communiqué.
Une surveillance multimodale de la zone est maintenue pour apprécier et suivre, autant que possible, l’impact de l’incident. Il s’agit d’une surveillance régulière du plan d’eau autour du site par survols d’hélicoptères et de drones. Le survol d’hélicoptère du 06 mars 2025, assuré conjointement par les deux administrations, n’a pas révélé d’anomalie visible ; une surveillance sous-marine permanente , par véhicule sous-marin téléguidé (Rov), est maintenue pour suivre l’évolution de la fuite ; une surveillance satellitaire sur la zone est maintenue en temps réel. En plus, les Marines nationales assurent une présence permanente dans la zone pour sécurisation.
«La situation est suivie de près par les administrations, en parfaite coordination, conformément à leurs prérogatives respectives. Dans ce cadre, des éléments précis sont collectés pour, notamment, alimenter une communication institutionnelle transparente et claire de la situation », note la même source.
Les administrations sénégalaises, en rapport avec leurs homologues mauritaniens, disent poursuivre le suivi rapproché de l’évolution de l’incident et tiendront l’opinion publique informée.
Adou FAYE