Geraldine Mahoro, chargée de projet de la Communauté africaine de pratiques sur la gestion axée sur les résultats de développement
Pour accompagner le développement durable du continent, la Banque africaine de développement (BAD), en partenariat avec la Fondation pour le renforcement des capacités en Afrique (ACBF) entend désormais s’appuyer sur deux leviers : la promotion de la culture du résultat et le soutien actif au secteur privé, principalement dans ses franges jeune et femme. A cet effet, une enveloppe de 300 millions de dollars est mise à la disposition des Etats qui présenteront des projets de développement inclusif initiés par des privés nationaux. Ces projets doivent s’inscrire dans les plans et programmes des Etas africains et viser des secteurs prioritaires tels l’agriculture, l’agro-industrie, les énergies renouvelables, etc.
Selon Gérardine Mahoro, la chargée de projet de la Communauté africaine de pratiques sur la gestion axée sur les résultats de développement (AfCoP, en Anglais), qui animait un point presse en prélude à cette rencontre, « ce programme obéit à une feuille de route élaborée par les Etats eux-mêmes au profit de leur jeunesse. »
Au Sénégal, par exemple, un projet initié par une femme, Maguette Wade, dans le domaine de la transformation de produits agricoles locaux bénéficie de cette initiative de l’institution financière africaine.
A travers ce financement, la BAD fait donc bénéficier aux membres de la Communauté africaine de pratiques sur la gestion axée sur les résultats (AfCop–GRD). Cette organisation vise l’autonomisation des jeunes pour la mise en œuvre de l’Agenda 2063, qui est une approche de l’Union africaine visant la transformation socio-économique positive du continent dans les 50 prochaines années.
C’est ainsi que, du 31 août au 2 septembre 2016, se tient, à Dakar, une rencontre de formation et de réseautage entre jeunes de 21 nationalités du continent autour de thématiques du développement. Initié à l’intention des jeunes leaders africains, cet événement vise à informer, habiliter et dialoguer avec eux, en vue de renforcer leurs capacités et leur rôle d’agents du changement.
Cette initiative entre dans le cadre des nouvelles priorités de la BAD, qui tente désormais mettre l’accent sur le financement du secteur privé pour des projets portés par des jeunes et des femmes.
Amadou BA
Selon Gérardine Mahoro, la chargée de projet de la Communauté africaine de pratiques sur la gestion axée sur les résultats de développement (AfCoP, en Anglais), qui animait un point presse en prélude à cette rencontre, « ce programme obéit à une feuille de route élaborée par les Etats eux-mêmes au profit de leur jeunesse. »
Au Sénégal, par exemple, un projet initié par une femme, Maguette Wade, dans le domaine de la transformation de produits agricoles locaux bénéficie de cette initiative de l’institution financière africaine.
A travers ce financement, la BAD fait donc bénéficier aux membres de la Communauté africaine de pratiques sur la gestion axée sur les résultats (AfCop–GRD). Cette organisation vise l’autonomisation des jeunes pour la mise en œuvre de l’Agenda 2063, qui est une approche de l’Union africaine visant la transformation socio-économique positive du continent dans les 50 prochaines années.
C’est ainsi que, du 31 août au 2 septembre 2016, se tient, à Dakar, une rencontre de formation et de réseautage entre jeunes de 21 nationalités du continent autour de thématiques du développement. Initié à l’intention des jeunes leaders africains, cet événement vise à informer, habiliter et dialoguer avec eux, en vue de renforcer leurs capacités et leur rôle d’agents du changement.
Cette initiative entre dans le cadre des nouvelles priorités de la BAD, qui tente désormais mettre l’accent sur le financement du secteur privé pour des projets portés par des jeunes et des femmes.
Amadou BA