Selon la même source, s’agissant des dépenses et prêts nets, en hausse de 16,7%, ils sont ressortis à 1243,4 milliards au premier semestre 2016. Cette progression est imputable aussi bien aux dépenses d’investissement qu’aux dépenses courantes. En effet, les dé- penses d’investissement sont estimées à 489,2 milliards, soit un accroissement de 27,9% attribuable, notamment, aux investissements sur ressources extérieures. Ces derniers, évalués à 218,9 milliards contre 118,5 milliards l’année précédente, sont en hausse de 84,8%.
Quant aux investissements financés sur ressources internes, ils se sont accrus de 2,4% pour se situer à 270,3 milliards. Pour leur part, les dépenses courantes se sont raffermies de 70,9 milliards (+10,4%) pour atteindre 754,2 milliards. Ce relèvement résulte de la progression des dépenses de fonctionnement, des intérêts sur la dette et des charges de personnel qui ont augmenté, respectivement, de 15,8%, 16,5% et 2% en s’établissant à 387,7 milliards, 89,2 milliards et 277,4 milliards.
Pathé TOURE
Quant aux investissements financés sur ressources internes, ils se sont accrus de 2,4% pour se situer à 270,3 milliards. Pour leur part, les dépenses courantes se sont raffermies de 70,9 milliards (+10,4%) pour atteindre 754,2 milliards. Ce relèvement résulte de la progression des dépenses de fonctionnement, des intérêts sur la dette et des charges de personnel qui ont augmenté, respectivement, de 15,8%, 16,5% et 2% en s’établissant à 387,7 milliards, 89,2 milliards et 277,4 milliards.
Pathé TOURE