La même source informe que les commissaires à l'Energie et à l'Environnement de la CEDEAO participeront aussi à l’atelier ainsi que des cadres de haut niveau des institutions gouvernementales des trois pays, de la Banque Mondiale, du Centre Régional pour les Energies Renouvelables et l’Efficacité Energétique et d'autres acteurs clés de la gestion forestière et de l'énergie domestique (biomasse et autres énergies renouvelables).
Les objectifs de l'atelier sont destinés à fournir aux gouvernements du Sénégal, de la Gambie et de la Guinée-Bissau, à la Banque mondiale et à d'autres parties prenantes des informations de base sur les ressources forestières et la gestion durable des forêts dans la sous-région ; type et ampleur des exportations/ importations illégales de produits ligneux et impacts des activités illégales et non réglementées sur les ressources forestières.
Mais aussi, informer les participants sur les enjeux liés à la demande en biomasse (bois de feu et charbon) et à l’exploitation des produits ligneux (légale et illégale), deux facteurs déterminants de la dégradation des forêts et de la dégradation des sols et identifier les opportunités pour les combattre.
Ce n'est pas tout. Puisque l'atelier entend faire des recommandations pour améliorer la gestion des forêts dans les zones frontalières, élaborer des protocoles et ententes institutionnels pour les politiques et pratiques transfrontalières et éradiquer l'exploitation illégale et le commerce illicite des produits forestiers à la frontière des trois pays.
Les résultats attendus sont nombreux. Il s'agit d'une meilleure compréhension des exportations/importations illégales de produits forestiers à travers les frontières des trois pays et pour les marchés internationaux.
Une meilleure connaissance des problèmes liés à la déforestation et la dégradation des forêts et les principaux facteurs y contribuant (demande en énergie de la biomasse, exploitation de produits ligneux et conversion des forêts).
Une meilleure information pour développer des protocoles, accords et ententes institutionnels pour la coopération transfrontalière et les activités de gestion des forêts transfrontalières.
Pathe TOURE
Les objectifs de l'atelier sont destinés à fournir aux gouvernements du Sénégal, de la Gambie et de la Guinée-Bissau, à la Banque mondiale et à d'autres parties prenantes des informations de base sur les ressources forestières et la gestion durable des forêts dans la sous-région ; type et ampleur des exportations/ importations illégales de produits ligneux et impacts des activités illégales et non réglementées sur les ressources forestières.
Mais aussi, informer les participants sur les enjeux liés à la demande en biomasse (bois de feu et charbon) et à l’exploitation des produits ligneux (légale et illégale), deux facteurs déterminants de la dégradation des forêts et de la dégradation des sols et identifier les opportunités pour les combattre.
Ce n'est pas tout. Puisque l'atelier entend faire des recommandations pour améliorer la gestion des forêts dans les zones frontalières, élaborer des protocoles et ententes institutionnels pour les politiques et pratiques transfrontalières et éradiquer l'exploitation illégale et le commerce illicite des produits forestiers à la frontière des trois pays.
Les résultats attendus sont nombreux. Il s'agit d'une meilleure compréhension des exportations/importations illégales de produits forestiers à travers les frontières des trois pays et pour les marchés internationaux.
Une meilleure connaissance des problèmes liés à la déforestation et la dégradation des forêts et les principaux facteurs y contribuant (demande en énergie de la biomasse, exploitation de produits ligneux et conversion des forêts).
Une meilleure information pour développer des protocoles, accords et ententes institutionnels pour la coopération transfrontalière et les activités de gestion des forêts transfrontalières.
Pathe TOURE