Selon Louise Cord de la Banque mondiale, la présente cérémonie se situe également dans le prolongement d’un long et fructueux compagnonnage de la Banque Mondiale avec le secteur de l’eau et de l’assainissement au Sénégal, qui remonte maintenant à plus de deux décennies.
Avec la signature du présent Accord, note-t-elle, la Banque mondiale aura injecté sur la période près de 200 milliards FCFA dans le secteur, à travers le Projet Sectoriel Eau (PSE) en 1996, le Projet Eau à Long Terme (PELT) en 2001, le Programme Eau et Assainissement pour le Millénaire (composante PEPAM-IDA) en 2010 et le Projet Eau et Assainissement en milieu Urbain (PEAMU) signé en 2015 qui bénéficie du présent Financent Additionnel.
Si l’eau est source de vie, l’énergie et les TIC sont sources de développement inclusif si leur accès est facilité a toute la population tant en zone urbaine que rurale. Dans ce sens, la Banque a mis à la disposition du Sénégal un appui budgétaire pour 60 millions de dollars (35 milliards de FCFA), premier appui d’une série programmatique de trois opérations sur trois ans. Ce programme s’inscrit dans la lignée des objectifs ambitieux du Plan Sénégal Emergent.
«C’est pourquoi le financement que nous signons et qui a été adopté le 30 juin dernier par notre Conseil d’administration, se concentre sur des reformes importantes dans deux secteurs clés de l’économie : l’énergie et les TIC», informe Louise Cord.
Pathé TOURE
Avec la signature du présent Accord, note-t-elle, la Banque mondiale aura injecté sur la période près de 200 milliards FCFA dans le secteur, à travers le Projet Sectoriel Eau (PSE) en 1996, le Projet Eau à Long Terme (PELT) en 2001, le Programme Eau et Assainissement pour le Millénaire (composante PEPAM-IDA) en 2010 et le Projet Eau et Assainissement en milieu Urbain (PEAMU) signé en 2015 qui bénéficie du présent Financent Additionnel.
Si l’eau est source de vie, l’énergie et les TIC sont sources de développement inclusif si leur accès est facilité a toute la population tant en zone urbaine que rurale. Dans ce sens, la Banque a mis à la disposition du Sénégal un appui budgétaire pour 60 millions de dollars (35 milliards de FCFA), premier appui d’une série programmatique de trois opérations sur trois ans. Ce programme s’inscrit dans la lignée des objectifs ambitieux du Plan Sénégal Emergent.
«C’est pourquoi le financement que nous signons et qui a été adopté le 30 juin dernier par notre Conseil d’administration, se concentre sur des reformes importantes dans deux secteurs clés de l’économie : l’énergie et les TIC», informe Louise Cord.
Pathé TOURE