Selon un rapport de l’OCDE, les impôts sur les salaires 2016 montrent qu’en 2015, les prélèvements sur les revenus du travail ont légèrement augmenté dans 24 des 34 pays de l’OCDE. Cette hausse fut compensée par des diminutions dans 8 pays. L’Espagne, l’Estonie et la Grèce ont enregistré de fortes baisses, dépassant un point de pourcentage, selon ce rapport.
Le niveau des prélèvements fiscaux et des cotisations de sécurité sociale (CSS) dans chaque pays est mesuré par le «coin fiscal», qui correspond au montant total des impôts et cotisations sociales versés par les salariés et les employeurs, diminué des prestations familiales reçues et divisé par les coûts totaux de main-d’œuvre pour l’employeur. Entre 2010 et 2015, les impôts sur les salaires ont progressé d’environ 1 point pour le travailleur moyen dans les pays de l’OCDE, même si la plupart des pays n’ont pas relevé les taux légaux de l’impôt sur le revenu.
Le rapport estime que l’augmentation des prélèvements sur les salaires s’explique essentiellement par une progression des salaires plus rapide que les allégements et crédits d’impôt, ce qui est corroboré par le fait que 7 pays seulement ont appliqué aux revenus salariaux moyens des taux d’imposition légaux supérieurs en 2015 à ce qu’ils étaient en 2010, et dans 8 pays ces taux étaient plus bas.
Ces résultats font partie des points saillants de la publication «Les Impôts sur les salaires 2016», qui contient des données internationales comparatives sans équivalent sur les montants des impôts, des CSS, des taxes sur les salaires et des prestations en espèces pour huit catégories de ménages, qui diffèrent selon le niveau des revenus et la composition familiale. Il présente également les taux d’imposition moyens et marginaux qui en résultent.
Pathé TOURE
Le niveau des prélèvements fiscaux et des cotisations de sécurité sociale (CSS) dans chaque pays est mesuré par le «coin fiscal», qui correspond au montant total des impôts et cotisations sociales versés par les salariés et les employeurs, diminué des prestations familiales reçues et divisé par les coûts totaux de main-d’œuvre pour l’employeur. Entre 2010 et 2015, les impôts sur les salaires ont progressé d’environ 1 point pour le travailleur moyen dans les pays de l’OCDE, même si la plupart des pays n’ont pas relevé les taux légaux de l’impôt sur le revenu.
Le rapport estime que l’augmentation des prélèvements sur les salaires s’explique essentiellement par une progression des salaires plus rapide que les allégements et crédits d’impôt, ce qui est corroboré par le fait que 7 pays seulement ont appliqué aux revenus salariaux moyens des taux d’imposition légaux supérieurs en 2015 à ce qu’ils étaient en 2010, et dans 8 pays ces taux étaient plus bas.
Ces résultats font partie des points saillants de la publication «Les Impôts sur les salaires 2016», qui contient des données internationales comparatives sans équivalent sur les montants des impôts, des CSS, des taxes sur les salaires et des prestations en espèces pour huit catégories de ménages, qui diffèrent selon le niveau des revenus et la composition familiale. Il présente également les taux d’imposition moyens et marginaux qui en résultent.
Pathé TOURE