Le premier est passé de 45% à 30%, tandis que le second est passé de 52 à 38%. Pour le patron de l’administration fiscale marocaine, le pays qui a débuté le processus de réformes fiscales depuis 1984 veut adapter son système fiscal au contexte économique et social. Ceci facilite selon lui le renforcement de la compétitivité des entreprises. Dans ce processus de réformes, il y a cependant des blocages selon M Ferraj. Il a cité parmi ces blocages l’économie informelle. Elle constitue selon lui une grande préoccupation pour le gouvernement marocain.
Ismaila Ba, envoyé spécial à Casablanca
Ismaila Ba, envoyé spécial à Casablanca