Selon la DPEE, cette progression est essentiellement imputable à l’augmentation des achats à l’étranger de produits pétroliers (+36,9 milliards), de « machines, appareils et moteurs » (+17,3 milliards) et de produits alimentaires (+11,0 milliards).
La hausse enregistrée au niveau des importations de produits pétroliers reflète l’accroissement des achats à l’étranger d’huiles brutes de pétrole (+40,7 milliards), modéré, cependant, par la contraction de produits pétroliers raffinés (-3,7 milliards).
Quant aux importations de produits alimentaires, la hausse observée s’explique par le relèvement de la valeur des importations de riz (+1,9 milliard) et d’« huiles et graisses animales et végétales » (+3,4 milliards), atténuée par la baisse des importations de « froment et méteil » (-4,7 milliards).
En revanche, les achats à l’étranger de « véhicules, matériels de transport, pièces détachées automobiles » se sont, pour leur part, repliés de 17,7 milliards sur la période. Sur un an, les importations de biens ont enregistré une hausse de 29,8% (+72,5 milliards), sous l’effet, notamment, des achats de «machines, appareils et moteurs » (+21,5 milliards), de produits pétroliers (+20,3 milliards), de produits alimentaires (+14,1 milliards) et, dans une moindre mesure, de produits pharmaceutiques (+1,4 milliard) ainsi que de «véhicules, matériels de transport, pièces automobiles » (+0,8 milliard).
Pathé TOURE
La hausse enregistrée au niveau des importations de produits pétroliers reflète l’accroissement des achats à l’étranger d’huiles brutes de pétrole (+40,7 milliards), modéré, cependant, par la contraction de produits pétroliers raffinés (-3,7 milliards).
Quant aux importations de produits alimentaires, la hausse observée s’explique par le relèvement de la valeur des importations de riz (+1,9 milliard) et d’« huiles et graisses animales et végétales » (+3,4 milliards), atténuée par la baisse des importations de « froment et méteil » (-4,7 milliards).
En revanche, les achats à l’étranger de « véhicules, matériels de transport, pièces détachées automobiles » se sont, pour leur part, repliés de 17,7 milliards sur la période. Sur un an, les importations de biens ont enregistré une hausse de 29,8% (+72,5 milliards), sous l’effet, notamment, des achats de «machines, appareils et moteurs » (+21,5 milliards), de produits pétroliers (+20,3 milliards), de produits alimentaires (+14,1 milliards) et, dans une moindre mesure, de produits pharmaceutiques (+1,4 milliard) ainsi que de «véhicules, matériels de transport, pièces automobiles » (+0,8 milliard).
Pathé TOURE