Selon la Dpee, cette hausse reflète l’augmentation de la valeur des importations de produits alimentaires (+9,3 milliards), de produits pétroliers (+6,1 milliards), de « véhicules, matériels de transport et pièces détachées automobiles » (+3,1 milliards) et de produits pharmaceutiques (+0,9 milliard).
La hausse des achats à l’étranger de produits alimentaires est due au froment et méteil (+6,2 milliards), aux huiles et graisses animales et végétales (+4,5 milliards) et au riz (4,1 milliards). En outre, le regain des importations de produits pétroliers est tiré par celui des huiles brutes de pétrole (+5,4 milliards).
Par contre, les importations de « machines, appareils et moteurs » ont baissé de 12,6 milliards, en variation mensuelle. En glissement annuel, les importations de biens se sont accrues de 5,7% (+22,3 milliards) sous l’effet, principalement, de la hausse de produits pharmaceutiques (+3,1 milliards) et de « machines, appareils et moteurs » (+2,1 milliards). Par ailleurs, les importations de produits pétroliers, de produits alimentaires et de « véhicules, matériels de transport et pièces détachées automobiles » se sont repliées respectivement de 20,4 milliards, 17,1 milliards et 7,9 milliards. S’agissant des produits alimentaires, la contraction est, en partie, liée à la baisse des achats à l’extérieur de riz (-22,6 milliards), d’huiles et graisses animales et végétales (-2,9 milliards) et de maïs (- 1,2 milliard).
La Dpee renseigne que les importations de biens en provenance des pays de l’Uemoa sont évaluées à 5,4 milliards au mois d’avril 2021 contre 6,7 milliards le mois précédent, soit un repli de 19,2% (-1,3 milliard). Elles ont représenté 1,3% de la valeur totale des importations de biens en avril 2021, soit 0,5 point de pourcentage de moins par rapport au mois précédent.
La Côte d’Ivoire demeure le principal fournisseur du Sénégal au sein de la zone, avec une part évaluée à 78,2% en avril 2021 contre 90,8% au mois de mars.
Les achats en provenance de ce pays ont, principalement, porté sur les « fruits et légumes comestibles », les « huiles et graisses animales et végétales » et les « matières plastiques artificielles » à, respectivement, 17,4%, 11,3% et 9,3% sur la période.
Adou Faye
La hausse des achats à l’étranger de produits alimentaires est due au froment et méteil (+6,2 milliards), aux huiles et graisses animales et végétales (+4,5 milliards) et au riz (4,1 milliards). En outre, le regain des importations de produits pétroliers est tiré par celui des huiles brutes de pétrole (+5,4 milliards).
Par contre, les importations de « machines, appareils et moteurs » ont baissé de 12,6 milliards, en variation mensuelle. En glissement annuel, les importations de biens se sont accrues de 5,7% (+22,3 milliards) sous l’effet, principalement, de la hausse de produits pharmaceutiques (+3,1 milliards) et de « machines, appareils et moteurs » (+2,1 milliards). Par ailleurs, les importations de produits pétroliers, de produits alimentaires et de « véhicules, matériels de transport et pièces détachées automobiles » se sont repliées respectivement de 20,4 milliards, 17,1 milliards et 7,9 milliards. S’agissant des produits alimentaires, la contraction est, en partie, liée à la baisse des achats à l’extérieur de riz (-22,6 milliards), d’huiles et graisses animales et végétales (-2,9 milliards) et de maïs (- 1,2 milliard).
La Dpee renseigne que les importations de biens en provenance des pays de l’Uemoa sont évaluées à 5,4 milliards au mois d’avril 2021 contre 6,7 milliards le mois précédent, soit un repli de 19,2% (-1,3 milliard). Elles ont représenté 1,3% de la valeur totale des importations de biens en avril 2021, soit 0,5 point de pourcentage de moins par rapport au mois précédent.
La Côte d’Ivoire demeure le principal fournisseur du Sénégal au sein de la zone, avec une part évaluée à 78,2% en avril 2021 contre 90,8% au mois de mars.
Les achats en provenance de ce pays ont, principalement, porté sur les « fruits et légumes comestibles », les « huiles et graisses animales et végétales » et les « matières plastiques artificielles » à, respectivement, 17,4%, 11,3% et 9,3% sur la période.
Adou Faye