La Dpee note que la progression des importations de produits pétroliers est, essentiellement, liée à l’accroissement de la valeur des achats des huiles brutes de pétrole (+26,5 milliards). Les produits raffinés de pétrole ont, également, progressé de 3,6 milliards.
S’agissant des importations de produits alimentaires, la hausse est, principalement, justifiée par l’accroissement des achats à l’extérieur de riz (+8,1 milliards) et de fruits et légumes comestibles (+2,7 milliards) amoindrie, toutefois, par les acquisitions de « froment et méteil » (-2,9 milliards) et de maïs (-1,4 milliard).
En glissement annuel, les importations de biens se sont inscrites en hausse de 33,5 milliards (+9,7%) au mois de novembre 2020 sous l’effet de la progression des achats de « machines, appareils et moteurs » (+13,1 milliards), de produits pétroliers (+12,4 milliards), de produits alimentaires (+12,1 milliards), de produits pharmaceutiques (+4,0 milliards) et de « véhicules, matériels de transport et pièces détachées automobiles » (+1,8 milliard).
Au titre des importations de produits alimentaires, la hausse est, essentiellement, expliquée par le riz (+9,4 milliards), les fruits et légumes comestibles (+3,0 milliards), le « froment et méteil » (+2,7 milliards), les « huiles, graisses animales et végétales » (+1,0 milliard). Pour ce qui est des importations de produits pétroliers, la progression est imputable, particulièrement, aux achats des huiles brutes de pétroles (+26,5 milliards) sur la période sous revue
Adou FAYE
S’agissant des importations de produits alimentaires, la hausse est, principalement, justifiée par l’accroissement des achats à l’extérieur de riz (+8,1 milliards) et de fruits et légumes comestibles (+2,7 milliards) amoindrie, toutefois, par les acquisitions de « froment et méteil » (-2,9 milliards) et de maïs (-1,4 milliard).
En glissement annuel, les importations de biens se sont inscrites en hausse de 33,5 milliards (+9,7%) au mois de novembre 2020 sous l’effet de la progression des achats de « machines, appareils et moteurs » (+13,1 milliards), de produits pétroliers (+12,4 milliards), de produits alimentaires (+12,1 milliards), de produits pharmaceutiques (+4,0 milliards) et de « véhicules, matériels de transport et pièces détachées automobiles » (+1,8 milliard).
Au titre des importations de produits alimentaires, la hausse est, essentiellement, expliquée par le riz (+9,4 milliards), les fruits et légumes comestibles (+3,0 milliards), le « froment et méteil » (+2,7 milliards), les « huiles, graisses animales et végétales » (+1,0 milliard). Pour ce qui est des importations de produits pétroliers, la progression est imputable, particulièrement, aux achats des huiles brutes de pétroles (+26,5 milliards) sur la période sous revue
Adou FAYE