Présent actuellement au Japon, Akinwumi Adesina, le président du Groupe de la Banque africaine de développement (BAD), a souligné la nécessité pour le secteur privé japonais de multiplier ses investissements en Afrique pour répondre aux besoins du continent.
Selon un communiqué, le président de la BAD a remercié le gouvernement japonais pour son important soutien tant à la BAD qu’à l’Afrique dans son ensemble, tout en faisant ressortir que la Banque continuera de compter sur le pays dans le cadre de la prochaine reconstitution du Fonds africain de développement (FAD), le guichet concessionnel du Groupe crée en 1972.
En effet, le Japon est le troisième plus important actionnaire de la BAD, derrière le Nigeria et les États-Unis respectivement, et il contribue de manière substantielle au FAD. De même, la JICA, l’agence bilatérale responsable de l’aide publique au développement.
Le communiqué ajoute que la coopération entre le Japon et l’Afrique sera amenée à se renforcer davantage encore, alors que le continent continue de faire preuve de résilience, même dans un contexte économique difficile. Une croissance de 4,4 % est attendue en Afrique pour 2016, au-dessus des 3,4 % prévus à l’échelle mondiale et des 2,6 % anticipés aux États-Unis. Pour Adesina, le secteur privé japonais a tout à gagner à investir dans les infrastructures de qualité dont l’Afrique a cruellement besoin présentement, en particulier dans le secteur de l’énergie, de l’agriculture et même de la santé.
Pathé TOURE
Selon un communiqué, le président de la BAD a remercié le gouvernement japonais pour son important soutien tant à la BAD qu’à l’Afrique dans son ensemble, tout en faisant ressortir que la Banque continuera de compter sur le pays dans le cadre de la prochaine reconstitution du Fonds africain de développement (FAD), le guichet concessionnel du Groupe crée en 1972.
En effet, le Japon est le troisième plus important actionnaire de la BAD, derrière le Nigeria et les États-Unis respectivement, et il contribue de manière substantielle au FAD. De même, la JICA, l’agence bilatérale responsable de l’aide publique au développement.
Le communiqué ajoute que la coopération entre le Japon et l’Afrique sera amenée à se renforcer davantage encore, alors que le continent continue de faire preuve de résilience, même dans un contexte économique difficile. Une croissance de 4,4 % est attendue en Afrique pour 2016, au-dessus des 3,4 % prévus à l’échelle mondiale et des 2,6 % anticipés aux États-Unis. Pour Adesina, le secteur privé japonais a tout à gagner à investir dans les infrastructures de qualité dont l’Afrique a cruellement besoin présentement, en particulier dans le secteur de l’énergie, de l’agriculture et même de la santé.
Pathé TOURE