Selon un communiqué de presse, ce soutien sera étendu par le biais de la Facilité régionale de soutien à la liquidité (Rlsf) - un effort conjoint de l'Atidi, de la Banque de développement Kfw et de l'Agence norvégienne de coopération au développement (Norad). Ce mécanisme, ajoute la même source, aide les producteurs indépendants d'énergie renouvelable (Ipp).
«Le projet, le premier à être pris en considération pour une couverture par le Fdlr au Kenya, est évalué à 117 millions d'Usd, le
financement étant assuré par la Banque africaine de développement (BAfD), la Banque de développement de l'Afrique orientale et australe (TDB), le Fonds finlandais pour la coopération industrielle (Finnfund) et les fonds propres des propriétaires du projet, Globeleq », précise-t-on.
La politique proposée par le Fsr couvrira le risque de défaut de paiement de la part de la compagnie nationale d'électricité, Kenya
Power & Lighting Company (Kplc), et de Geothermal development corporation (Gdc), une entreprise publique créée pour accélérer le développement des ressources géothermiques au Kenya.
La vapeur sera fournie au projet par Gdc dans le cadre d'un accord de mise en œuvre de l'énergie et de fourniture de vapeur d'une durée de 25 ans, tandis que l'électricité produite sera vendue exclusivement à Kplc dans le cadre d'un accord d'achat d'électricité d'une durée identique. La société de projet bénéficie également d'une lettre de soutien du gouvernement kényan.
Manuel Moses, Pdg d'Atidi, a déclaré : «Nous sommes ravis de travailler avec Globeleq, Kplc, Gdc et le gouvernement kenyan sur cet important projet. Cette collaboration souligne notre engagement en faveur du développement durable et des énergies renouvelables au Kenya et dans la région. Nous sommes fiers de soutenir la transition énergétique du Kenya ».
Jonathan Hoffman, Pdg par intérim de Globeleq, a félicité Atidi pour cet accord historique et s'est engagé à poursuivre la collaboration.
Le Kenya est devenu le dixième État membre de l'Atidi à signer le protocole d'accord sur le Fdlr, après le Bénin, le Burundi, la Côte d'Ivoire, le Ghana, Madagascar, le Malawi, le Togo, l'Ouganda et la Zambie.
Selon le communiqué, le secteur de l'électricité du Kenya bénéficie d'un investissement privé actif et d'abondantes ressources renouvelables telles que l'énergie hydroélectrique, éolienne et géothermique. «Le gouvernement prévoit d'augmenter la production d'électricité de 3 078 MW en 2023 à 5 000 MW d'ici 2030. Les projets géothermiques joueront un rôle clé dans cette expansion.
L'initiative du Frfs de l'Atidi contribue à assurer la stabilité des projets d'énergie renouvelable. Grâce à ce soutien, le Kenya est en
bonne voie pour atteindre son objectif de 100 % d'énergie propre d'ici 2030 », lit-on dans le document.
Adou FAYE
«Le projet, le premier à être pris en considération pour une couverture par le Fdlr au Kenya, est évalué à 117 millions d'Usd, le
financement étant assuré par la Banque africaine de développement (BAfD), la Banque de développement de l'Afrique orientale et australe (TDB), le Fonds finlandais pour la coopération industrielle (Finnfund) et les fonds propres des propriétaires du projet, Globeleq », précise-t-on.
La politique proposée par le Fsr couvrira le risque de défaut de paiement de la part de la compagnie nationale d'électricité, Kenya
Power & Lighting Company (Kplc), et de Geothermal development corporation (Gdc), une entreprise publique créée pour accélérer le développement des ressources géothermiques au Kenya.
La vapeur sera fournie au projet par Gdc dans le cadre d'un accord de mise en œuvre de l'énergie et de fourniture de vapeur d'une durée de 25 ans, tandis que l'électricité produite sera vendue exclusivement à Kplc dans le cadre d'un accord d'achat d'électricité d'une durée identique. La société de projet bénéficie également d'une lettre de soutien du gouvernement kényan.
Manuel Moses, Pdg d'Atidi, a déclaré : «Nous sommes ravis de travailler avec Globeleq, Kplc, Gdc et le gouvernement kenyan sur cet important projet. Cette collaboration souligne notre engagement en faveur du développement durable et des énergies renouvelables au Kenya et dans la région. Nous sommes fiers de soutenir la transition énergétique du Kenya ».
Jonathan Hoffman, Pdg par intérim de Globeleq, a félicité Atidi pour cet accord historique et s'est engagé à poursuivre la collaboration.
Le Kenya est devenu le dixième État membre de l'Atidi à signer le protocole d'accord sur le Fdlr, après le Bénin, le Burundi, la Côte d'Ivoire, le Ghana, Madagascar, le Malawi, le Togo, l'Ouganda et la Zambie.
Selon le communiqué, le secteur de l'électricité du Kenya bénéficie d'un investissement privé actif et d'abondantes ressources renouvelables telles que l'énergie hydroélectrique, éolienne et géothermique. «Le gouvernement prévoit d'augmenter la production d'électricité de 3 078 MW en 2023 à 5 000 MW d'ici 2030. Les projets géothermiques joueront un rôle clé dans cette expansion.
L'initiative du Frfs de l'Atidi contribue à assurer la stabilité des projets d'énergie renouvelable. Grâce à ce soutien, le Kenya est en
bonne voie pour atteindre son objectif de 100 % d'énergie propre d'ici 2030 », lit-on dans le document.
Adou FAYE