Mabousso Thiam, directeur général de l’Agence de développement et d’encadrement des Petites et moyennes entreprises (ADEPME
‘’L’idée est également de faire en sorte qu’on puisse accélérer le processus de formation qui est préalable à la formalisation pour donner plus d’envie aux gens au sortir des échanges’’, a dit M. Thiam qui a présenté le même jour à Dakar ce nouveau dispositif à la presse.
Cette rencontre avec les journalistes est organisée en prélude au lancement de "CONNECT, un rendez-vous des PME", prévu du 10 au 12 juin prochain au Grand Théâtre national. Cet évènement a pour but ‘’la promotion de l’écosystème entrepreneurial au Sénégal, en réunissant pendant trois jours l’ensemble des acteurs du développement de l’entreprise", a-t-il souligné.
Cette manifestation sera précédée des "72 heures en région et en banlieue", à l’initiative de l’ l'ADEPME. Elle cherche à ‘’promouvoir des technologies et former en gestion près de 2.200 entrepreneurs’’ à Diourbel, Fatick, Kolda, Ziguinchor, Sédhiou, Tambacounda et dans la banlieue de Dakar, selon le directeur général de l’ADEPME.
Cette rencontre vise à regrouper l’ensemble des dispositifs d’appui en vigueur au Sénégal pour que les uns et les autres puissent échanger pour que chacun comprenne la valeur ajoutée des autres, expliqué Mabousso Thiam.
Il a indiqué que les 2.200 personnes déjà formées vont venir pour faire des témoignages et partager leur expérience. ‘’Nous voulons, au sortir de ce CONNECT 2014, que les Sénégalais aient encore envie de se lancer dans l'entrepreneuriat’’, a-t-il encore dit.
‘’L’Etat ne peut plus continuer à créer des emplois, parce que cela augmenterait les impôts. L’Etat doit plutôt créer les conditions et s’atteler à l’encadrement’’, a estimé M. Thiam;
‘’Avec 500 000 à 2 000 000 francs, on peut monter une PME spécialisée dans la fabrication de craie ou de clous et autres produits dont on a besoin. Nous ne devons importer que des choses qu'on est incapable de produire localement’’, a expliqué le directeur général de l’ADEPME.
‘’Je ne peux pas concevoir que les écoles de Kédougou soient alimentées en craie à partir de Dakar, alors qu’il y a des entreprises capables de travailler sur place dans la fabrication de craie’’, a-t-il souligné, prenant l’exemple sur l’Inde où ‘’beaucoup de choses sont fabriquées dans les garages, dans la cour familiale et dans les maisons’’.
Affirmant que l'entrepreneuriat est un travail dans la durée avec des échecs et des réussites, le directeur général de l’ADEPME a dit que plusieurs activités sont inscrites dans le programme avec des rencontres qui seront organisées pour promouvoir l’innovation.
APS
Cette rencontre avec les journalistes est organisée en prélude au lancement de "CONNECT, un rendez-vous des PME", prévu du 10 au 12 juin prochain au Grand Théâtre national. Cet évènement a pour but ‘’la promotion de l’écosystème entrepreneurial au Sénégal, en réunissant pendant trois jours l’ensemble des acteurs du développement de l’entreprise", a-t-il souligné.
Cette manifestation sera précédée des "72 heures en région et en banlieue", à l’initiative de l’ l'ADEPME. Elle cherche à ‘’promouvoir des technologies et former en gestion près de 2.200 entrepreneurs’’ à Diourbel, Fatick, Kolda, Ziguinchor, Sédhiou, Tambacounda et dans la banlieue de Dakar, selon le directeur général de l’ADEPME.
Cette rencontre vise à regrouper l’ensemble des dispositifs d’appui en vigueur au Sénégal pour que les uns et les autres puissent échanger pour que chacun comprenne la valeur ajoutée des autres, expliqué Mabousso Thiam.
Il a indiqué que les 2.200 personnes déjà formées vont venir pour faire des témoignages et partager leur expérience. ‘’Nous voulons, au sortir de ce CONNECT 2014, que les Sénégalais aient encore envie de se lancer dans l'entrepreneuriat’’, a-t-il encore dit.
‘’L’Etat ne peut plus continuer à créer des emplois, parce que cela augmenterait les impôts. L’Etat doit plutôt créer les conditions et s’atteler à l’encadrement’’, a estimé M. Thiam;
‘’Avec 500 000 à 2 000 000 francs, on peut monter une PME spécialisée dans la fabrication de craie ou de clous et autres produits dont on a besoin. Nous ne devons importer que des choses qu'on est incapable de produire localement’’, a expliqué le directeur général de l’ADEPME.
‘’Je ne peux pas concevoir que les écoles de Kédougou soient alimentées en craie à partir de Dakar, alors qu’il y a des entreprises capables de travailler sur place dans la fabrication de craie’’, a-t-il souligné, prenant l’exemple sur l’Inde où ‘’beaucoup de choses sont fabriquées dans les garages, dans la cour familiale et dans les maisons’’.
Affirmant que l'entrepreneuriat est un travail dans la durée avec des échecs et des réussites, le directeur général de l’ADEPME a dit que plusieurs activités sont inscrites dans le programme avec des rencontres qui seront organisées pour promouvoir l’innovation.
APS