Cette enveloppe est destinée à appuyer le Programme d’analyse des systèmes éducatifs de la CONFEMEN (Pasec) dans le cadre de la mise en œuvre de la deuxième évaluation internationale des systèmes éducatifs, dénommée "PASEC2019".
La source qui donne l’information avance que cette enquête standardisée porte sur l’évaluation des compétences des élèves de 2e et 6e années du primaire et sur celle de leurs enseignants afin d’identifier les caractéristiques des performances des systèmes éducatifs de quinze (15) pays francophones d’Afrique subsaharienne : Bénin, Burkina Faso, Burundi, Cameroun, Congo, Côte d’Ivoire, Gabon, Guinée Conakry, Madagascar, Mali, Niger, RD Congo, Sénégal, Tchad et Togo. Et de préciser que l’enquête permettra également d’identifier les déterminants d’une éducation de base de qualité.
Les services de l’ambassade de France à Dakar précisent que ce financement, qui est une subvention non remboursable, servira à réaliser le plan d’action 2017-2021 du PASEC, notamment les activités de terrain dans les 15 pays bénéficiaires sous forme de fonds délégués.
De façon spécifique, ajoute la même source, le projet qui fait l’objet de financement de plusieurs partenaires (AFD, pays bénéficiaires, CONFEMEN, DDC Suisse) vise à renforcer la production et l’analyse de données comparables sur les compétences des élèves du primaire en lien avec leurs contextes d’apprentissage dans les quinze pays participants.
Il sera question également à renforcer les capacités des pays dans l’évaluation des compétences des élèves et la production d’analyse sur les déterminants des performances de leurs systèmes éducatifs ; améliorer l’efficacité, la qualité et la légitimité scientifique du PASEC.
Troisième appui de l’AFD au PASEC
L’ambassade de France de rappeler que ce financement est le troisième appui de l’AFD au PASEC depuis 2009. Selon elle, le premier concours de 1,3 million d’euros, achevé en 2012, avait pour principal objet la conduite d’évaluations nationales et la révision des outils d’évaluation du PASEC.
Avant d’ajouter que le second appui d’un montant de 4 millions d’euros octroyé en 2012 a permis d’accompagner le Programme dans la réalisation de la première évaluation internationale comparée PASEC2014 portant sur dix (10) pays d’Afrique subsaharienne francophone et adoptant les standards internationaux des évaluations des acquis des élèves. Le programme a également pris en charge un volet important de renforcement des capacités des équipes nationales.
Elle fait savoir que l’AFD finance d’autres programmes dans le domaine de l’éducation et de la formation professionnelle dans les pays de la sous-région et contribue à ce titre à la participation financière de certains pays au programme PASEC.
A l’en croire, la finalité de ces appuis est de contribuer à assurer à tous l’accès à une éducation de qualité et de renforcer la formation professionnelle afin qu’elle soit en adéquation avec les besoins du marché.
Le PASEC fournit aux pays de la CONFEMEN les outils et assure les renforcements de capacités nécessaires à une mesure de cette qualité et à une analyse des leviers de son amélioration.
La CONFEMEN s’engage à une utilisation rigoureuse et efficace de ces ressources et fera régulièrement une reddition des comptes aux instances de décision et aux partenaires financiers.
Mariama Diallo
La source qui donne l’information avance que cette enquête standardisée porte sur l’évaluation des compétences des élèves de 2e et 6e années du primaire et sur celle de leurs enseignants afin d’identifier les caractéristiques des performances des systèmes éducatifs de quinze (15) pays francophones d’Afrique subsaharienne : Bénin, Burkina Faso, Burundi, Cameroun, Congo, Côte d’Ivoire, Gabon, Guinée Conakry, Madagascar, Mali, Niger, RD Congo, Sénégal, Tchad et Togo. Et de préciser que l’enquête permettra également d’identifier les déterminants d’une éducation de base de qualité.
Les services de l’ambassade de France à Dakar précisent que ce financement, qui est une subvention non remboursable, servira à réaliser le plan d’action 2017-2021 du PASEC, notamment les activités de terrain dans les 15 pays bénéficiaires sous forme de fonds délégués.
De façon spécifique, ajoute la même source, le projet qui fait l’objet de financement de plusieurs partenaires (AFD, pays bénéficiaires, CONFEMEN, DDC Suisse) vise à renforcer la production et l’analyse de données comparables sur les compétences des élèves du primaire en lien avec leurs contextes d’apprentissage dans les quinze pays participants.
Il sera question également à renforcer les capacités des pays dans l’évaluation des compétences des élèves et la production d’analyse sur les déterminants des performances de leurs systèmes éducatifs ; améliorer l’efficacité, la qualité et la légitimité scientifique du PASEC.
Troisième appui de l’AFD au PASEC
L’ambassade de France de rappeler que ce financement est le troisième appui de l’AFD au PASEC depuis 2009. Selon elle, le premier concours de 1,3 million d’euros, achevé en 2012, avait pour principal objet la conduite d’évaluations nationales et la révision des outils d’évaluation du PASEC.
Avant d’ajouter que le second appui d’un montant de 4 millions d’euros octroyé en 2012 a permis d’accompagner le Programme dans la réalisation de la première évaluation internationale comparée PASEC2014 portant sur dix (10) pays d’Afrique subsaharienne francophone et adoptant les standards internationaux des évaluations des acquis des élèves. Le programme a également pris en charge un volet important de renforcement des capacités des équipes nationales.
Elle fait savoir que l’AFD finance d’autres programmes dans le domaine de l’éducation et de la formation professionnelle dans les pays de la sous-région et contribue à ce titre à la participation financière de certains pays au programme PASEC.
A l’en croire, la finalité de ces appuis est de contribuer à assurer à tous l’accès à une éducation de qualité et de renforcer la formation professionnelle afin qu’elle soit en adéquation avec les besoins du marché.
Le PASEC fournit aux pays de la CONFEMEN les outils et assure les renforcements de capacités nécessaires à une mesure de cette qualité et à une analyse des leviers de son amélioration.
La CONFEMEN s’engage à une utilisation rigoureuse et efficace de ces ressources et fera régulièrement une reddition des comptes aux instances de décision et aux partenaires financiers.
Mariama Diallo