‘’En attendant de disposer d’une usine de fabrique d’aliments de poisson, de petites unités artisanales qui parviennent à fabriquer 1.000 tonnes par heure en utilisant des résidus de récolte ont été mises en place pour répondre aux besoins des promoteurs’’, a dit M. Ba.
Il était en visite à Richard-Toll où se tenait une réunion du Conseil de surveillance de l'ANA, mercredi.
Selon lui, ‘’l’ANA est en train d’élaborer un cahier de charges pour l’implantation d’une usine de fabrique d’aliments de poisson sur financement de la Banque africaine de développement (BAD) avec le Projet d’appui à la promotion de l’emploi des jeunes et des femmes (PAPEJ)’’.
Le directeur général de l’ANA a mis à profit cette tournée pour assister à une récolte de poissons dans les bassins piscicoles de 800 m2 chacun détenus par des groupements de femmes membres de la Fédération des productrices du delta (FEPRODES).
Ces dernières ont expliqué que c'est sous l'influence de leur présidente Penda Guèye qu'elles ont commencé à s'adonner à l’aquaculture. Mme Guèye a selon elles fait le constat que le produit halieutique se raréfiait dans la zone.
Accompagné du président du Conseil de surveillance Lesleyni Sy, le directeur général de l’ANA a également visité la ferme de Sanar, une exploitation familiale mise en place par Balla Kane, un ancien contrôleur des impôts et domaines.
Ndombo où se trouve la ferme ‘’Talibé Cheikh’’ a accueilli aussi la délégation qui a entendu les doléances du promoteur relativement à l’absence d’une structure pour produire suffisamment d’aliments pour les poissons.
‘’Plus on alimente, plus le produit grossit. Et c’est ce qu’on cherche dans cet élevage. Malheureusement, l’aliment coûte cher. Pour un seul bassin, il me faut 600.000 FCFA en aliments durant la période d’élevage et je dispose de trois bassins’’, confie-t-il.
APS
Il était en visite à Richard-Toll où se tenait une réunion du Conseil de surveillance de l'ANA, mercredi.
Selon lui, ‘’l’ANA est en train d’élaborer un cahier de charges pour l’implantation d’une usine de fabrique d’aliments de poisson sur financement de la Banque africaine de développement (BAD) avec le Projet d’appui à la promotion de l’emploi des jeunes et des femmes (PAPEJ)’’.
Le directeur général de l’ANA a mis à profit cette tournée pour assister à une récolte de poissons dans les bassins piscicoles de 800 m2 chacun détenus par des groupements de femmes membres de la Fédération des productrices du delta (FEPRODES).
Ces dernières ont expliqué que c'est sous l'influence de leur présidente Penda Guèye qu'elles ont commencé à s'adonner à l’aquaculture. Mme Guèye a selon elles fait le constat que le produit halieutique se raréfiait dans la zone.
Accompagné du président du Conseil de surveillance Lesleyni Sy, le directeur général de l’ANA a également visité la ferme de Sanar, une exploitation familiale mise en place par Balla Kane, un ancien contrôleur des impôts et domaines.
Ndombo où se trouve la ferme ‘’Talibé Cheikh’’ a accueilli aussi la délégation qui a entendu les doléances du promoteur relativement à l’absence d’une structure pour produire suffisamment d’aliments pour les poissons.
‘’Plus on alimente, plus le produit grossit. Et c’est ce qu’on cherche dans cet élevage. Malheureusement, l’aliment coûte cher. Pour un seul bassin, il me faut 600.000 FCFA en aliments durant la période d’élevage et je dispose de trois bassins’’, confie-t-il.
APS