Le document renseigne que la session de réflexion qui a réuni une soixantaine d’experts pendant deux jours, était dédiée à l’examen du progrès fait par les Etats de la CEMAC sur quatre critères de la convergence macroéconomique et sur des leçons à tirer de cette expérience par la Communauté Economique des Etats d’Afrique Centrale (CEEAC) afin d’obtenir la convergence macroéconomique dans la sous-région. Ceci, dans le but de faire un pas décisif vers la création d’une Communauté Économique Africaine et la mise sur pied d’une monnaie unique du continent en 2021 comme envisagé par le Traité d’Abuja, mise en vigueur en 1994.
La même source nous révèle que s’il est vrai que tous les pays de l’espace CEMAC (le Cameroun, le Congo, le Gabon, la Guinée Equatoriale, la République Centrafricaine et le Tchad) ont eu des bonnes performances par rapport au critère de surveillance multilatérale sur la convergence qui fixe le taux d’endettement public (intérieur et extérieur) inférieur ou égal à 70% du PIB, ce n’est pas le cas pour les trois autres indicateurs de convergence. Il s’agit du maintien d’un solde budgétaire de base positif ou nul, la conservation d’un taux d’inflation annuel inférieur à 3% et la non-accumulation d’arriérés intérieurs et extérieurs sur la gestion de la période courante par chacun de ces Etats concernés.
Face à des performances disparates et en deçà des attentes, les experts ont suggéré aux Etats concernées d’assurer une meilleure appropriation de l’exercice de surveillance multilatérale différents. Ils ont également indiqué que les Etats membres de la CEMAC devraient renforcer les capacités des acteurs particulièrement dans la collecte et traitement des statistiques, tout en dotant les cellules nationales de surveillance en ressources humaines et financières adéquates.
A la plus large question de la convergence macroéconomique dans toute l’étendue de la CEEAC, les experts ont recommandé aux gouvernements et aux institutions partenaires de la sous-région de poursuivre le chantier de la rationalisation en élaborant un tableau de bord pour appréhender l’extension du cadre de convergence CEMAC à l’ensemble des pays de la CEEAC. Dans le même ordre d’idée, ils ont demandé à la CEMAC d’associer le Secrétariat Général de la CEEAC dans les missions de surveillance de la convergence macroéconomique.
Aussi, et parmi d’autres recommandations, ils ont invité la CEA à initier des programmes de renforcement des capacités des Etats et de leurs institutions pour un meilleur suivi des critères, ainsi que de leurs systèmes statistiques pour la production de données fiables sur la convergence.
Le document renseigne que la session de réflexion qui a réuni une soixantaine d’experts pendant deux jours, était dédiée à l’examen du progrès fait par les Etats de la CEMAC sur quatre critères de la convergence macroéconomique et sur des leçons à tirer de cette expérience par la Communauté Economique des Etats d’Afrique Centrale (CEEAC) afin d’obtenir la convergence macroéconomique dans la sous-région. Ceci, dans le but de faire un pas décisif vers la création d’une Communauté Économique Africaine et la mise sur pied d’une monnaie unique du continent en 2021 comme envisagé par le Traité d’Abuja, mise en vigueur en 1994.
La même source nous révèle que s’il est vrai que tous les pays de l’espace CEMAC (le Cameroun, le Congo, le Gabon, la Guinée Equatoriale, la République Centrafricaine et le Tchad) ont eu des bonnes performances par rapport au critère de surveillance multilatérale sur la convergence qui fixe le taux d’endettement public (intérieur et extérieur) inférieur ou égal à 70% du PIB, ce n’est pas le cas pour les trois autres indicateurs de convergence. Il s’agit du maintien d’un solde budgétaire de base positif ou nul, la conservation d’un taux d’inflation annuel inférieur à 3% et la non-accumulation d’arriérés intérieurs et extérieurs sur la gestion de la période courante par chacun de ces Etats concernés.
Face à des performances disparates et en deçà des attentes, les experts ont suggéré aux Etats concernées d’assurer une meilleure appropriation de l’exercice de surveillance multilatérale différents. Ils ont également indiqué que les Etats membres de la CEMAC devraient renforcer les capacités des acteurs particulièrement dans la collecte et traitement des statistiques, tout en dotant les cellules nationales de surveillance en ressources humaines et financières adéquates.
A la plus large question de la convergence macroéconomique dans toute l’étendue de la CEEAC, les experts ont recommandé aux gouvernements et aux institutions partenaires de la sous-région de poursuivre le chantier de la rationalisation en élaborant un tableau de bord pour appréhender l’extension du cadre de convergence CEMAC à l’ensemble des pays de la CEEAC. Dans le même ordre d’idée, ils ont demandé à la CEMAC d’associer le Secrétariat Général de la CEEAC dans les missions de surveillance de la convergence macroéconomique.
Aussi, et parmi d’autres recommandations, ils ont invité la CEA à initier des programmes de renforcement des capacités des Etats et de leurs institutions pour un meilleur suivi des critères, ainsi que de leurs systèmes statistiques pour la production de données fiables sur la convergence.
Kiné Seye
La même source nous révèle que s’il est vrai que tous les pays de l’espace CEMAC (le Cameroun, le Congo, le Gabon, la Guinée Equatoriale, la République Centrafricaine et le Tchad) ont eu des bonnes performances par rapport au critère de surveillance multilatérale sur la convergence qui fixe le taux d’endettement public (intérieur et extérieur) inférieur ou égal à 70% du PIB, ce n’est pas le cas pour les trois autres indicateurs de convergence. Il s’agit du maintien d’un solde budgétaire de base positif ou nul, la conservation d’un taux d’inflation annuel inférieur à 3% et la non-accumulation d’arriérés intérieurs et extérieurs sur la gestion de la période courante par chacun de ces Etats concernés.
Face à des performances disparates et en deçà des attentes, les experts ont suggéré aux Etats concernées d’assurer une meilleure appropriation de l’exercice de surveillance multilatérale différents. Ils ont également indiqué que les Etats membres de la CEMAC devraient renforcer les capacités des acteurs particulièrement dans la collecte et traitement des statistiques, tout en dotant les cellules nationales de surveillance en ressources humaines et financières adéquates.
A la plus large question de la convergence macroéconomique dans toute l’étendue de la CEEAC, les experts ont recommandé aux gouvernements et aux institutions partenaires de la sous-région de poursuivre le chantier de la rationalisation en élaborant un tableau de bord pour appréhender l’extension du cadre de convergence CEMAC à l’ensemble des pays de la CEEAC. Dans le même ordre d’idée, ils ont demandé à la CEMAC d’associer le Secrétariat Général de la CEEAC dans les missions de surveillance de la convergence macroéconomique.
Aussi, et parmi d’autres recommandations, ils ont invité la CEA à initier des programmes de renforcement des capacités des Etats et de leurs institutions pour un meilleur suivi des critères, ainsi que de leurs systèmes statistiques pour la production de données fiables sur la convergence.
Le document renseigne que la session de réflexion qui a réuni une soixantaine d’experts pendant deux jours, était dédiée à l’examen du progrès fait par les Etats de la CEMAC sur quatre critères de la convergence macroéconomique et sur des leçons à tirer de cette expérience par la Communauté Economique des Etats d’Afrique Centrale (CEEAC) afin d’obtenir la convergence macroéconomique dans la sous-région. Ceci, dans le but de faire un pas décisif vers la création d’une Communauté Économique Africaine et la mise sur pied d’une monnaie unique du continent en 2021 comme envisagé par le Traité d’Abuja, mise en vigueur en 1994.
La même source nous révèle que s’il est vrai que tous les pays de l’espace CEMAC (le Cameroun, le Congo, le Gabon, la Guinée Equatoriale, la République Centrafricaine et le Tchad) ont eu des bonnes performances par rapport au critère de surveillance multilatérale sur la convergence qui fixe le taux d’endettement public (intérieur et extérieur) inférieur ou égal à 70% du PIB, ce n’est pas le cas pour les trois autres indicateurs de convergence. Il s’agit du maintien d’un solde budgétaire de base positif ou nul, la conservation d’un taux d’inflation annuel inférieur à 3% et la non-accumulation d’arriérés intérieurs et extérieurs sur la gestion de la période courante par chacun de ces Etats concernés.
Face à des performances disparates et en deçà des attentes, les experts ont suggéré aux Etats concernées d’assurer une meilleure appropriation de l’exercice de surveillance multilatérale différents. Ils ont également indiqué que les Etats membres de la CEMAC devraient renforcer les capacités des acteurs particulièrement dans la collecte et traitement des statistiques, tout en dotant les cellules nationales de surveillance en ressources humaines et financières adéquates.
A la plus large question de la convergence macroéconomique dans toute l’étendue de la CEEAC, les experts ont recommandé aux gouvernements et aux institutions partenaires de la sous-région de poursuivre le chantier de la rationalisation en élaborant un tableau de bord pour appréhender l’extension du cadre de convergence CEMAC à l’ensemble des pays de la CEEAC. Dans le même ordre d’idée, ils ont demandé à la CEMAC d’associer le Secrétariat Général de la CEEAC dans les missions de surveillance de la convergence macroéconomique.
Aussi, et parmi d’autres recommandations, ils ont invité la CEA à initier des programmes de renforcement des capacités des Etats et de leurs institutions pour un meilleur suivi des critères, ainsi que de leurs systèmes statistiques pour la production de données fiables sur la convergence.
Kiné Seye