«Les créances fiscales que les entreprises et administrations algériennes doivent à l'Etat s'élèvent à 60 milliards de dollars, soit l'équivalent d'une année entière de recettes pétrolières, principale ressource du pays», a déclaré M. Mahi, indiquant qu’il s’agit d’«une manne qui pourrait renflouer les caisses du Trésor public».
«Il faut que le recouvrement se fasse de manière beaucoup plus efficace pour ces quatre dernières années. Cela permettra de suppléer un petit peu la baisse des prix du pétrole», a-t-il ajouté.
En Algérie, la fiscalité pétrolière contribue à hauteur de 60% au budget de l'Etat.Les recettes provenant des hydrocarbures, qui représentent 96% des revenus externes de l'Algérie, ont baissé de 1,84% durant les onze premiers mois de 2014 en raison de la chute des prix du pétrole, de 57,23 à 56,2 milliards de dollars, selon les chiffres révélés le 21 décembre par la douane.
Ecofin
«Il faut que le recouvrement se fasse de manière beaucoup plus efficace pour ces quatre dernières années. Cela permettra de suppléer un petit peu la baisse des prix du pétrole», a-t-il ajouté.
En Algérie, la fiscalité pétrolière contribue à hauteur de 60% au budget de l'Etat.Les recettes provenant des hydrocarbures, qui représentent 96% des revenus externes de l'Algérie, ont baissé de 1,84% durant les onze premiers mois de 2014 en raison de la chute des prix du pétrole, de 57,23 à 56,2 milliards de dollars, selon les chiffres révélés le 21 décembre par la douane.
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