L’occasion a été donnée au secrétaire permanent de l’OHADA le Pr Sossa, de faire un état des lieux de l’OHADA et de dégager les perspectives de l’organisation, non sans insister sur la nécessité d’une mobilisation des ressources de l’OHADA à temps, l’informatisation RCCM au Cameroun et au Congo, nonobstant les chantiers ouverts de révision des actes uniformes de l’OHADA.
A sa suite effectivement Madame Christiane Taubira, qui a insisté sur le succès de l’OHADA lié à sa création dans un contexte d’ultralibéralisme, avec une particularité ; l’adoption de normes d’applicabilité directe dans 17 pays membres. Mais en outre, elle a soulevé un certains nombres de préoccupations liées au délai des recours devant la CCJA, l’impulsion à donner aux comités nationaux OHADA, l’informatisation du RCCM, et enfin le statut de l’entreprenant.
D’ailleurs poursuivant son allocution, elle n’a pas manqué de réagir sur le statut de l’entreprenant, en relation avec les perspectives de réforme du droit du travail, pour faire un plaidoyer auprès des acteurs du secteur informel en majorité constitués de femmes sur la nécessité de préserver la créativité et l’inventivité qui caractérisent le secteur informel.
L’OHADA a fini de convaincre aussi qu’il ya les chantiers qui doivent inscrire l’OHADA sur orbite, notamment l’Acte Uniforme sur le droit du travail, et celui sur l’ACTE Uniforme sur le droit des contrats, le barreau de l’OHADA, et bien entendu tout ce qui touche à la gouvernance de l’OHADA, à la question du financement alternatif aux contributions des Etats à recouvrer.
Dans le même ordre d’idée, on peut noter que sur le point sur l’informatisation du Registre du Commerce et du Crédit Mobilier une signature OHADA/Agence Française de Développement(AFD) va assurer le financement de l’opération au Yaoundé et au Cameroun.
Au total, le droit OHADA doit évoluer et s’adapter à la sphère économique et aux nouveaux domaines.
Théodore Alexis, envoyé spécial à Yamoussoukro
A sa suite effectivement Madame Christiane Taubira, qui a insisté sur le succès de l’OHADA lié à sa création dans un contexte d’ultralibéralisme, avec une particularité ; l’adoption de normes d’applicabilité directe dans 17 pays membres. Mais en outre, elle a soulevé un certains nombres de préoccupations liées au délai des recours devant la CCJA, l’impulsion à donner aux comités nationaux OHADA, l’informatisation du RCCM, et enfin le statut de l’entreprenant.
D’ailleurs poursuivant son allocution, elle n’a pas manqué de réagir sur le statut de l’entreprenant, en relation avec les perspectives de réforme du droit du travail, pour faire un plaidoyer auprès des acteurs du secteur informel en majorité constitués de femmes sur la nécessité de préserver la créativité et l’inventivité qui caractérisent le secteur informel.
L’OHADA a fini de convaincre aussi qu’il ya les chantiers qui doivent inscrire l’OHADA sur orbite, notamment l’Acte Uniforme sur le droit du travail, et celui sur l’ACTE Uniforme sur le droit des contrats, le barreau de l’OHADA, et bien entendu tout ce qui touche à la gouvernance de l’OHADA, à la question du financement alternatif aux contributions des Etats à recouvrer.
Dans le même ordre d’idée, on peut noter que sur le point sur l’informatisation du Registre du Commerce et du Crédit Mobilier une signature OHADA/Agence Française de Développement(AFD) va assurer le financement de l’opération au Yaoundé et au Cameroun.
Au total, le droit OHADA doit évoluer et s’adapter à la sphère économique et aux nouveaux domaines.
Théodore Alexis, envoyé spécial à Yamoussoukro