« Comme l’a souligné le Président de la Commission de l’Union européenne, M. Juncker, dans son discours sur l’état de l’Union en septembre dernier, faisant référence à la ZLECA, il espère que la perspective à long terme consiste à créer un accord global de libre-échange de continent à continent entre l’UE et l’Afrique », dit-il.
Il ajoute que pour préparer le terrain, les accords de partenariat économique, les accords de libre-échange, « y compris les zones de libre-échange approfondies et complètes des pays du nord de l’Afrique et d’autres questions commerciales avec l’UE doivent être exploités au maximum au profit de la ZLECA ».
L’objectif est d’accroître davantage les exportations africaines et d’attirer les investissements, notamment dans les secteurs de la fabrication et de la transformation, et d’encourager la création de chaînes de valeur régionales grâce à des règles d’origine souples, indique M. Sabatucci.
« Pour y parvenir, un soutien massif de 40 milliards d’euros de subventions dans le cadre de la nouvelle Alliance euro-africaine pour l’emploi et la croissance est proposé pour la période 2021-2027 pour, entre autres, attirer des investissements qui créeraient 10 millions d’emplois en Afrique », déclare-t-il, ajoutant que l’UE continuera de renforcer son soutien à l’Afrique à cet égard.
M. Sabatucci dit que la ZLECA a un potentiel extraordinaire de transformation économique pour le continent en créant le plus grand marché commun intégré du monde depuis la création de l’OMC.
« Notre soutien à la ZLECA a beaucoup à voir avec notre histoire. C’est à travers la création de la zone de libre-échange, de l’union douanière et du marché unique que les 60 dernières années sont devenues la période de paix, de croissance économique et de prospérité la plus longue, de notre continent », indique-t-il, ajoutant le vrai travail commence maintenant depuis l’entrée en vigueur de la ZLECA, le 30 mai.
M. Sabatucci affirme qu’une Corne de l’Afrique stable est importante pour l’intégration économique régionale et africaine.
Vera Songwe, Secrétaire exécutive de la Commission économique pour l’Afrique (CEA), précise que l’industrie pharmaceutique africaine résume bien ce que la ZLECA peut apporter au continent.
D’une valeur de 20,8 milliards de dollars en 2013, l’industrie pourrait atteindre 64 milliards de dollars au cours des dix prochaines années, créant ainsi plus de 16 millions d’emplois.
Mme Songwe révèle que cela conduira également à la création de géants régionaux et continentaux et à la prospérité.
« La ZLECA est un programme de développement économique axé sur la création de champions régionaux et continentaux, l’accélération du développement des infrastructures, l’énergie et l’harmonisation des plateformes d’intégration de l’Afrique. Nous devons maintenant agir rapidement pour la mettre en œuvre et profiter de ses avantages », déclare-t-elle.
Mme Songwe dit que l’Afrique de l’Est, comptant au moins 600 millions d’habitants, est l’une des régions à la croissance la plus rapide du continent, mais que cette croissance ne se traduit pas pour l’instant par une réduction de la pauvreté et une prospérité.
Elle souligne qu’il est d’une importance vitale pour les pays africains, en particulier ceux de la Corne, de maintenir la paix et la stabilité comme conditions préalables au renforcement du développement du secteur privé et du commerce intra-africain.
« Nous pensons que le commerce et l’intégration constitueront l’une des solutions aux problèmes de la région », affirme-t-elle.
Le forum, organisé par la CEA, le Gouvernement éthiopien, la Commission de l’Union africaine (CUA) et l’Union européenne (UE), avait pour thème, le suivant : « Mise en œuvre de la ZLECA : Éliminer les obstacles géographiques, logistiques et réglementaires au commerce et à l’investissement dans la corne pour stimuler l’industrialisation : Mettre l’accent sur l’industrie pharmaceutique ».
Il ajoute que pour préparer le terrain, les accords de partenariat économique, les accords de libre-échange, « y compris les zones de libre-échange approfondies et complètes des pays du nord de l’Afrique et d’autres questions commerciales avec l’UE doivent être exploités au maximum au profit de la ZLECA ».
L’objectif est d’accroître davantage les exportations africaines et d’attirer les investissements, notamment dans les secteurs de la fabrication et de la transformation, et d’encourager la création de chaînes de valeur régionales grâce à des règles d’origine souples, indique M. Sabatucci.
« Pour y parvenir, un soutien massif de 40 milliards d’euros de subventions dans le cadre de la nouvelle Alliance euro-africaine pour l’emploi et la croissance est proposé pour la période 2021-2027 pour, entre autres, attirer des investissements qui créeraient 10 millions d’emplois en Afrique », déclare-t-il, ajoutant que l’UE continuera de renforcer son soutien à l’Afrique à cet égard.
M. Sabatucci dit que la ZLECA a un potentiel extraordinaire de transformation économique pour le continent en créant le plus grand marché commun intégré du monde depuis la création de l’OMC.
« Notre soutien à la ZLECA a beaucoup à voir avec notre histoire. C’est à travers la création de la zone de libre-échange, de l’union douanière et du marché unique que les 60 dernières années sont devenues la période de paix, de croissance économique et de prospérité la plus longue, de notre continent », indique-t-il, ajoutant le vrai travail commence maintenant depuis l’entrée en vigueur de la ZLECA, le 30 mai.
M. Sabatucci affirme qu’une Corne de l’Afrique stable est importante pour l’intégration économique régionale et africaine.
Vera Songwe, Secrétaire exécutive de la Commission économique pour l’Afrique (CEA), précise que l’industrie pharmaceutique africaine résume bien ce que la ZLECA peut apporter au continent.
D’une valeur de 20,8 milliards de dollars en 2013, l’industrie pourrait atteindre 64 milliards de dollars au cours des dix prochaines années, créant ainsi plus de 16 millions d’emplois.
Mme Songwe révèle que cela conduira également à la création de géants régionaux et continentaux et à la prospérité.
« La ZLECA est un programme de développement économique axé sur la création de champions régionaux et continentaux, l’accélération du développement des infrastructures, l’énergie et l’harmonisation des plateformes d’intégration de l’Afrique. Nous devons maintenant agir rapidement pour la mettre en œuvre et profiter de ses avantages », déclare-t-elle.
Mme Songwe dit que l’Afrique de l’Est, comptant au moins 600 millions d’habitants, est l’une des régions à la croissance la plus rapide du continent, mais que cette croissance ne se traduit pas pour l’instant par une réduction de la pauvreté et une prospérité.
Elle souligne qu’il est d’une importance vitale pour les pays africains, en particulier ceux de la Corne, de maintenir la paix et la stabilité comme conditions préalables au renforcement du développement du secteur privé et du commerce intra-africain.
« Nous pensons que le commerce et l’intégration constitueront l’une des solutions aux problèmes de la région », affirme-t-elle.
Le forum, organisé par la CEA, le Gouvernement éthiopien, la Commission de l’Union africaine (CUA) et l’Union européenne (UE), avait pour thème, le suivant : « Mise en œuvre de la ZLECA : Éliminer les obstacles géographiques, logistiques et réglementaires au commerce et à l’investissement dans la corne pour stimuler l’industrialisation : Mettre l’accent sur l’industrie pharmaceutique ».