Le Docteur Diatou Thiaw Niane, conseillère technique du ministère de l’Environnement et du Développement Durable explique que les mécanismes de financement internationaux dédiés au climat exigent désormais que la vulnérabilité aux changements climatiques soit clairement démontrée et évaluée par une expertise scientifique avérée et que les stratégies d’adaptation répondent de manière évidente aux impacts causés par la variabilité du climat, d’où la nécessité de ces études. C’est pour cela qu’il fallait des études de vulnérabilité des zones du département de Fatick.
Revenant sur le cheminement de ce projet lors de l’atelier de lancement des études de vulnérabilité financées par l’Allemagne à hauteur de 4,35 millions d’euros environs 3,659 milliards de francs dont bénéficie le Sénégal et d’autres pays d’Afrique francophone, les organisateurs rappellent : «Avec l’adaptation aux changements climatiques, le Sénégal en conformité avec l’évolution des négociations internationales sur le climat, avait lancé son processus national d’adaptation (Pna) en 2015. Ce processus vise à réduire la vulnérabilité du pays face aux incidences des changements climatiques. C’est pourquoi le projet d’Appui scientifique aux processus de plans nationaux d’adaptation (Pas-Pna) pour la période 2016-2019 est exécuté grâce à la collaboration entre le ministère de l’Environnement du Sénégal et la Coopération allemande (Giz) qui finance les études dans les pays d’Afrique francophone avec comme base le Sénégal et le Bénin». Les études de vulnérabilité qui ont été lancées lors de ce même atelier sont prévues dans les secteurs prioritaires de l’agriculture, des ressources en eau et des zones côtières. Ces études de vulnérabilité vont se mener dans les localités de Dionewar, Niakhar et de Toubacouta, qui par leur position géographique, sont exposées aux dérèglements climatiques qui engendrent, entre autres, une salinisation et une forte érosion côtière selon Docteur Diatou Thiaw Niane, conseillère technique du ministère de l’Environnement et du Développement Durable.
La représentante de la Giz, Nele Buenner a soutenu que l’Allemagne a décidé de soutenir le Sénégal à travers ces études car les changements climatiques sont devenus une menace pour les pays en développement. Pour elle, «l’adaptation à long terme nécessite des études pour faire face à ce phénomène. L’étude de vulnérabilité entre dans le cadre de l’initiative internationale climat financé par le gouvernement fédéral allemand pour accroitre de façon significative la capacité nationale d’adaptation et de résilience aux changements climatiques».
La représentante du ministre de l’Environnement avait indiqué cette étude est utile vu que les impacts des changements climatiques sont aussi nombreux que divers sont de plus en plus coûteux et de nature à hypothéquer l’émergence économiques des pays en développement.
Tidiane Diouf
Revenant sur le cheminement de ce projet lors de l’atelier de lancement des études de vulnérabilité financées par l’Allemagne à hauteur de 4,35 millions d’euros environs 3,659 milliards de francs dont bénéficie le Sénégal et d’autres pays d’Afrique francophone, les organisateurs rappellent : «Avec l’adaptation aux changements climatiques, le Sénégal en conformité avec l’évolution des négociations internationales sur le climat, avait lancé son processus national d’adaptation (Pna) en 2015. Ce processus vise à réduire la vulnérabilité du pays face aux incidences des changements climatiques. C’est pourquoi le projet d’Appui scientifique aux processus de plans nationaux d’adaptation (Pas-Pna) pour la période 2016-2019 est exécuté grâce à la collaboration entre le ministère de l’Environnement du Sénégal et la Coopération allemande (Giz) qui finance les études dans les pays d’Afrique francophone avec comme base le Sénégal et le Bénin». Les études de vulnérabilité qui ont été lancées lors de ce même atelier sont prévues dans les secteurs prioritaires de l’agriculture, des ressources en eau et des zones côtières. Ces études de vulnérabilité vont se mener dans les localités de Dionewar, Niakhar et de Toubacouta, qui par leur position géographique, sont exposées aux dérèglements climatiques qui engendrent, entre autres, une salinisation et une forte érosion côtière selon Docteur Diatou Thiaw Niane, conseillère technique du ministère de l’Environnement et du Développement Durable.
La représentante de la Giz, Nele Buenner a soutenu que l’Allemagne a décidé de soutenir le Sénégal à travers ces études car les changements climatiques sont devenus une menace pour les pays en développement. Pour elle, «l’adaptation à long terme nécessite des études pour faire face à ce phénomène. L’étude de vulnérabilité entre dans le cadre de l’initiative internationale climat financé par le gouvernement fédéral allemand pour accroitre de façon significative la capacité nationale d’adaptation et de résilience aux changements climatiques».
La représentante du ministre de l’Environnement avait indiqué cette étude est utile vu que les impacts des changements climatiques sont aussi nombreux que divers sont de plus en plus coûteux et de nature à hypothéquer l’émergence économiques des pays en développement.
Tidiane Diouf