La Banque salue les bonnes performances du Maroc sur le plan économique, que reflète un taux de croissance annuel de 4,2 % en moyenne entre 2009 et 2013. Ce, malgré un contexte international et régional difficile.
La Banque souligne par ailleurs la volonté affichée des autorités marocaines depuis 2011 de conduire plusieurs volets de réformes, notamment améliorer l'efficience de l'administration et la gestion des finances publiques - sans menacer pour autant les équilibres macro-économiques.
Depuis 2012, la Banque a mis à disposition du Maroc 1,8 milliard de dollars EU de financement.
Les autorités marocaines doivent encore affronter de nombreux défis : renforcer le dynamisme du secteur privé, améliorer la compétitivité des exportations, s'attaquer au chômage des jeunes, atténuer les disparités régionales, favoriser la participation des femmes à la vie économique et assurer la pérennité des ressources en eau.
Pour ce faire, la BAD a affiné ses axes d'interventions au Maroc sur la période 2014-2016 grâce à un diagnostic de croissance, réalisé conjointement avec le gouvernement marocain et le Millenium Challenge Corporation. La stratégie d'intervention de la Banque dans le pays s'inscrit également dans la droite ligne de sa stratégie décennale 2013-2022.
Dans cette optique, priorité a été donnée à deux axes d'intervention : l'amélioration de la gouvernance d'une part, et l'amélioration des infrastructures d'autre part, de façon à stimuler la compétitivité de l'économie tout en assurant une meilleure redistribution des retombées de la croissance à l'ensemble de la population. Afin de parvenir à cette croissance inclusive, encore faut-il améliorer l'efficience de l'action sociale de l'État et l'accès aux services de bases dans les régions les plus défavorisées.
Autre priorité de la BAD au Maroc, stipulée dans le nouveau document de stratégie pays : soutenir une économie marocaine "verte", en encourageant le développement des énergies renouvelables et une meilleure gestion de l'eau.
Tous ces objectifs ont été définis à la suite de nombreuses consultations menées auprès des autorités du Royaume, du secteur privé, de la société civile et d'autres partenaires au développement. La Banque compte également appuyer les ambitions subsahariennes du Maroc.
La Banque souligne par ailleurs la volonté affichée des autorités marocaines depuis 2011 de conduire plusieurs volets de réformes, notamment améliorer l'efficience de l'administration et la gestion des finances publiques - sans menacer pour autant les équilibres macro-économiques.
Depuis 2012, la Banque a mis à disposition du Maroc 1,8 milliard de dollars EU de financement.
Les autorités marocaines doivent encore affronter de nombreux défis : renforcer le dynamisme du secteur privé, améliorer la compétitivité des exportations, s'attaquer au chômage des jeunes, atténuer les disparités régionales, favoriser la participation des femmes à la vie économique et assurer la pérennité des ressources en eau.
Pour ce faire, la BAD a affiné ses axes d'interventions au Maroc sur la période 2014-2016 grâce à un diagnostic de croissance, réalisé conjointement avec le gouvernement marocain et le Millenium Challenge Corporation. La stratégie d'intervention de la Banque dans le pays s'inscrit également dans la droite ligne de sa stratégie décennale 2013-2022.
Dans cette optique, priorité a été donnée à deux axes d'intervention : l'amélioration de la gouvernance d'une part, et l'amélioration des infrastructures d'autre part, de façon à stimuler la compétitivité de l'économie tout en assurant une meilleure redistribution des retombées de la croissance à l'ensemble de la population. Afin de parvenir à cette croissance inclusive, encore faut-il améliorer l'efficience de l'action sociale de l'État et l'accès aux services de bases dans les régions les plus défavorisées.
Autre priorité de la BAD au Maroc, stipulée dans le nouveau document de stratégie pays : soutenir une économie marocaine "verte", en encourageant le développement des énergies renouvelables et une meilleure gestion de l'eau.
Tous ces objectifs ont été définis à la suite de nombreuses consultations menées auprès des autorités du Royaume, du secteur privé, de la société civile et d'autres partenaires au développement. La Banque compte également appuyer les ambitions subsahariennes du Maroc.