Selon les experts de l’institution, la faiblesse des investissements publics dans l’agriculture a augmenté la vulnérabilité du continent africain aux effets des changements climatiques. «Une augmentation de deux degrés celsius de la température en Afrique entraînerait une baisse de 40 % à 80 % de la superficie de terres arables permettant la culture du maïs, du millet et du Sorgho» a affirmé Diarietou Gaye, directrice nationale de la Banque mondiale au Kenya, pour illustrer cette réalité.
La dirigeante a en outre précisé que le nombre de personnes exposées à l’insécurité alimentaire pourrait augmenter de façon exponentielle d’ici la fin de cette année si des mesures adéquates n’étaient pas prises.
De son côté Ademola Braimoh, spécialiste senior de gestion des ressources naturelles de la Banque mondiale a indiqué à Xinhua que «ces défis peuvent être surmontés par davantage d’investissements dans des instruments tels que l'agriculture climatiquement rationnelle (ACR)».
Ecofin
La dirigeante a en outre précisé que le nombre de personnes exposées à l’insécurité alimentaire pourrait augmenter de façon exponentielle d’ici la fin de cette année si des mesures adéquates n’étaient pas prises.
De son côté Ademola Braimoh, spécialiste senior de gestion des ressources naturelles de la Banque mondiale a indiqué à Xinhua que «ces défis peuvent être surmontés par davantage d’investissements dans des instruments tels que l'agriculture climatiquement rationnelle (ACR)».
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