"J'étais moi-même un peu en politique et il y a beaucoup de choses que vous dites mais ce qui compte au final c'est ce que vous faites (...). Il faut des actes, pas des mots", a déclaré Mme Lagarde, qui était interrogée sur les réticences d'Athènes à coopérer avec le FMI.
Aux termes de l'accord du 13 juillet, les Européens ont notamment posé comme condition à un troisième plan d'aide à la Grèce la participation du Fonds monétaire international qu'Athènes a pourtant accusé de comportements "criminels".
"Ce qui est crucial à mes yeux est ce que les autorités grecques sont vraiment prêtes à faire et pas les paroles ou le bruit politique qui sont souvent une nécessité", a répliqué la dirigeante lors d'une conférence de presse "virtuelle", en ligne et sans journalistes présents.
Mme Lagarde a par ailleurs réaffirmé qu'une restructuration de la dette grecque était "inévitable" et que les Européens devaient débloquer les fonds nécessaires pour que le renflouement du pays soit "crédible" et que le FMI accepte de participer à un nouveau plan d'assistance.
rtbf.be
Aux termes de l'accord du 13 juillet, les Européens ont notamment posé comme condition à un troisième plan d'aide à la Grèce la participation du Fonds monétaire international qu'Athènes a pourtant accusé de comportements "criminels".
"Ce qui est crucial à mes yeux est ce que les autorités grecques sont vraiment prêtes à faire et pas les paroles ou le bruit politique qui sont souvent une nécessité", a répliqué la dirigeante lors d'une conférence de presse "virtuelle", en ligne et sans journalistes présents.
Mme Lagarde a par ailleurs réaffirmé qu'une restructuration de la dette grecque était "inévitable" et que les Européens devaient débloquer les fonds nécessaires pour que le renflouement du pays soit "crédible" et que le FMI accepte de participer à un nouveau plan d'assistance.
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