Selon le président sénégalais, il faut donc renforcer la collaboration de nos services de sécurité en matière de renseignement, de collecte de données et de surveillance de réseaux de criminalité transfrontalière. Il présidait la cérémonie d’ouverture du deuxième forum international de la paix et de la sécurité en Afrique.
Le président Sall explique que la paix et la sécurité en Afrique conditionne la paix et la sécurité dans le monde d’une certaine manière. Ce qui touche le continent affecte aussi d’autres pays du monde.
Il poursuit qu’il en ait aussi de la logique djihadiste, alimenté par une rhétorique radicale qui poussent les jeunes à commettre des attentats à l’étranger. Pensons à tous ces jeunes embrigadés dans différents pays pour combattre en Syrie, en Afghanistan ou sur d’autres terres africaines.
D’après lui, il faudra continuer à travailler avec les pays et institutions partenaires en matière de prévention et de règlements de crises, de maintien et de consolidation de la paix. Nous devons continuer à lutter contre les causes profondes d’instabilité par la promotion de l’Etat de droit, l’éducation, la formation et l’emploi des jeunes pour les donner des raisons d’espérer.
C’est dans l’ignorance, la pauvreté et l’exclusion sociale que certaines causent d’instabilité trouvent un terreau fertile à leur éclosion. C’est dans ce terreau qu’il faut éliminer les germes du mal pour une vision plus cohérente de la paix et de la sécurité en Afrique. Autrement, nous aurons traités les symptômes en laissant de côté la maladie, a-t-il indiqué.
Il est important de privilégier une approche préventive, d’anticiper sur les menaces à la paix et la sécurité en lieu et place d’une démarche curative tant que mal est déjà installé, a-t-il dit auparavant.
‘’Nous connaissons la typologie classique des menaces à la paix et la sécurité en Afrique. Il s’agit de la lutte pour le contrôle du pouvoir politique, ou des ressources naturelles, les conflits transfrontaliers et identitaires font parti de cette typologie’’ fait- il savoir.
Selon lui, à la racine du mal, il s’y est ajouté d’autres causes. Je pense au trafic de drogue, la piraterie maritime, à la criminalité organisée .Ces sources de terrorisme sont encore diffuses donc plus difficile à cerner.
Il informe que les défis en la matière sont nombreuses puisque le terrorisme à tendance à se sanctuariser en Afrique, en ce sens que les terroristes agissent en réseau considèrent le continent comme le ventre mou du terrorisme international.
Les formes traditionnelles de prévention et de la paix sont peu opérationnelles, pour ne pas dire inefficaces(…) En raison de la nature des risques, les missions de paix sont devenues plus complexes. On fait face à des forces surarmées et déterminés sans foi, ni loi, a-t-il ajouté.
Ndeye Maguette Kebe
Le président Sall explique que la paix et la sécurité en Afrique conditionne la paix et la sécurité dans le monde d’une certaine manière. Ce qui touche le continent affecte aussi d’autres pays du monde.
Il poursuit qu’il en ait aussi de la logique djihadiste, alimenté par une rhétorique radicale qui poussent les jeunes à commettre des attentats à l’étranger. Pensons à tous ces jeunes embrigadés dans différents pays pour combattre en Syrie, en Afghanistan ou sur d’autres terres africaines.
D’après lui, il faudra continuer à travailler avec les pays et institutions partenaires en matière de prévention et de règlements de crises, de maintien et de consolidation de la paix. Nous devons continuer à lutter contre les causes profondes d’instabilité par la promotion de l’Etat de droit, l’éducation, la formation et l’emploi des jeunes pour les donner des raisons d’espérer.
C’est dans l’ignorance, la pauvreté et l’exclusion sociale que certaines causent d’instabilité trouvent un terreau fertile à leur éclosion. C’est dans ce terreau qu’il faut éliminer les germes du mal pour une vision plus cohérente de la paix et de la sécurité en Afrique. Autrement, nous aurons traités les symptômes en laissant de côté la maladie, a-t-il indiqué.
Il est important de privilégier une approche préventive, d’anticiper sur les menaces à la paix et la sécurité en lieu et place d’une démarche curative tant que mal est déjà installé, a-t-il dit auparavant.
‘’Nous connaissons la typologie classique des menaces à la paix et la sécurité en Afrique. Il s’agit de la lutte pour le contrôle du pouvoir politique, ou des ressources naturelles, les conflits transfrontaliers et identitaires font parti de cette typologie’’ fait- il savoir.
Selon lui, à la racine du mal, il s’y est ajouté d’autres causes. Je pense au trafic de drogue, la piraterie maritime, à la criminalité organisée .Ces sources de terrorisme sont encore diffuses donc plus difficile à cerner.
Il informe que les défis en la matière sont nombreuses puisque le terrorisme à tendance à se sanctuariser en Afrique, en ce sens que les terroristes agissent en réseau considèrent le continent comme le ventre mou du terrorisme international.
Les formes traditionnelles de prévention et de la paix sont peu opérationnelles, pour ne pas dire inefficaces(…) En raison de la nature des risques, les missions de paix sont devenues plus complexes. On fait face à des forces surarmées et déterminés sans foi, ni loi, a-t-il ajouté.
Ndeye Maguette Kebe