‘’Le Sénégal fait partie des grands pays de pêche en Afrique dont la pêche artisanale occupe la première place aux plans de sa contribution importante à la sécurité alimentaire et à la création d’emplois dont
une frange importante de femmes s’activent dans les métiers de la transformation artisanale et le micro-mareyage des produits halieutiques’’, a expliqué M. Goudiaby.
Soulignant que le ministre de la Pêche et de l’Economie maritime, Oumar Guèye accorde un intérêt particulier à l’exploitation durable des ressources halieutiques conformément au Plan Sénégal émergent
(PSE) décliné dans la Lettre de politique sectorielle de développement de la pêche et de l’aquaculture (LPSDPA).
Ces Directives volontaires de la FAO sont le ‘’fruit d’un processus participatif’’ impliquant, dans l’élaboration, des représentants des gouvernements, des artisans pêcheurs, des travailleurs aux métiers
annexes de la pêche et de leurs organisations, des scientifiques, des chercheurs, des partenaires au développement, de la société civile ainsi que d’autres parties prenantes compétentes, a dit M. Guèye.
‘’Ces Directives constituent un outil clé pour encourager la mise en œuvre de politiques nationales, de promotion de pratiques et de comportements, en faveur de la pêche artisanale durable, afin de
renforcer la contribution fondamentale de ce sous-secteur à la sécurité alimentaire et à l’éradication de la pauvreté’’, a soutenu le DPM.
Selon Mamadou Goudiaby, le secteur de la pêche est ‘’une composante essentielle’’ du développement rural et joue un rôle stratégique et de soutien à la croissance des économies nationales, en contribuant à la réduction du déficit de la balance des paiements et du chômage.
‘’La pêche artisanale est, à ce titre, inscrite parmi les moteurs de croissance sectorielle de l’Axe 1 du PSE, référentiel unique des politiques de développement économique et social, qui lui assigne un
rôle central dans le renforcement de la gestion des ressources halieutiques, la valorisation des captures et la promotion de l’aquaculture à l’horizon 2023’’, a déclaré Goudiaby.
A l’en croire, les orientations et mesures contenues dans les Directives volontaires sont des ‘’outils pertinents’’ qui, s’ils sont bien mis en œuvre, peuvent aider à l’amélioration des performances
actuelles du secteur des pêches. Par conséquent, leur bonne application peut beaucoup contribuer à l’atteinte des objectifs stratégiques qui sont assignés au secteur à travers la LPSDPA qui est en cours d’exécution depuis 2016.
Pour sa part, le président du Conseil national interprofessionnel de la pêche artisanale au Sénégal (CONIPAS), Samba Guèye, a invité les partenaires techniques et financiers de l’Etat et le secteur privé
national à ‘’favoriser l’éclosion d’une pêche artisanale durable" au Sénégal’’. Il a également invité les autorités en charge de ce secteur à associer d’autres partenaires, tels que les bailleurs de fonds et le
secteur privé national" à son financement.
Un plan d’actions devant favoriser une pêche artisanale durable au Sénégal est envisagé, avec une implication effective de tous les acteurs concernés, car, pour Samba Guèye, et la durabilité de la pêche
artisanale est le gage de survie des acteurs artisans et industriels.
Serigne Makhtar Fall
une frange importante de femmes s’activent dans les métiers de la transformation artisanale et le micro-mareyage des produits halieutiques’’, a expliqué M. Goudiaby.
Soulignant que le ministre de la Pêche et de l’Economie maritime, Oumar Guèye accorde un intérêt particulier à l’exploitation durable des ressources halieutiques conformément au Plan Sénégal émergent
(PSE) décliné dans la Lettre de politique sectorielle de développement de la pêche et de l’aquaculture (LPSDPA).
Ces Directives volontaires de la FAO sont le ‘’fruit d’un processus participatif’’ impliquant, dans l’élaboration, des représentants des gouvernements, des artisans pêcheurs, des travailleurs aux métiers
annexes de la pêche et de leurs organisations, des scientifiques, des chercheurs, des partenaires au développement, de la société civile ainsi que d’autres parties prenantes compétentes, a dit M. Guèye.
‘’Ces Directives constituent un outil clé pour encourager la mise en œuvre de politiques nationales, de promotion de pratiques et de comportements, en faveur de la pêche artisanale durable, afin de
renforcer la contribution fondamentale de ce sous-secteur à la sécurité alimentaire et à l’éradication de la pauvreté’’, a soutenu le DPM.
Selon Mamadou Goudiaby, le secteur de la pêche est ‘’une composante essentielle’’ du développement rural et joue un rôle stratégique et de soutien à la croissance des économies nationales, en contribuant à la réduction du déficit de la balance des paiements et du chômage.
‘’La pêche artisanale est, à ce titre, inscrite parmi les moteurs de croissance sectorielle de l’Axe 1 du PSE, référentiel unique des politiques de développement économique et social, qui lui assigne un
rôle central dans le renforcement de la gestion des ressources halieutiques, la valorisation des captures et la promotion de l’aquaculture à l’horizon 2023’’, a déclaré Goudiaby.
A l’en croire, les orientations et mesures contenues dans les Directives volontaires sont des ‘’outils pertinents’’ qui, s’ils sont bien mis en œuvre, peuvent aider à l’amélioration des performances
actuelles du secteur des pêches. Par conséquent, leur bonne application peut beaucoup contribuer à l’atteinte des objectifs stratégiques qui sont assignés au secteur à travers la LPSDPA qui est en cours d’exécution depuis 2016.
Pour sa part, le président du Conseil national interprofessionnel de la pêche artisanale au Sénégal (CONIPAS), Samba Guèye, a invité les partenaires techniques et financiers de l’Etat et le secteur privé
national à ‘’favoriser l’éclosion d’une pêche artisanale durable" au Sénégal’’. Il a également invité les autorités en charge de ce secteur à associer d’autres partenaires, tels que les bailleurs de fonds et le
secteur privé national" à son financement.
Un plan d’actions devant favoriser une pêche artisanale durable au Sénégal est envisagé, avec une implication effective de tous les acteurs concernés, car, pour Samba Guèye, et la durabilité de la pêche
artisanale est le gage de survie des acteurs artisans et industriels.
Serigne Makhtar Fall