Pour lui, c’est ‘’un impératif à la fois écologique, économique et social pour tendre vers une planification concertée de la zone côtière et l’application stricte des dispositions du cadre législatif et réglementaire y afférent’’.
M. Baldé se prononçait, jeudi, à Rufisque, au cours d’une visite de la digue de protection côtière de Tiawlène, dans la ville de Rufisque, co-financée par le Fonds pour l’adaptation, l’UEMOA et le projet INTAC, financé par le Japon.
‘’Cette digue arrive à point nommé au regard des difficultés que rencontrent notre pays pour protéger de manière efficace les espaces littoraux dont la contribution à l’économie nationale n’est plus à démontrer’’ a indiqué le ministre.
''Les zones côtières sont parmi les secteurs les plus vulnérables aux effets des changements climatiques au Sénégal. Ces effets se manifestent par l’érosion des plages, la destruction d’habitats, la salinisation des terres, la dégradation de la mangrove'', a t- il souligné.
‘’Ces effets combinés à la pression de plus en plus forte liée à l’occupation anarchique de ces zones, aux activités de développement notamment le tourisme, la pêche et l’agriculture ne peuvent qu’accélérer le phénomène de l’érosion’’, a-t-il expliqué.
APS
M. Baldé se prononçait, jeudi, à Rufisque, au cours d’une visite de la digue de protection côtière de Tiawlène, dans la ville de Rufisque, co-financée par le Fonds pour l’adaptation, l’UEMOA et le projet INTAC, financé par le Japon.
‘’Cette digue arrive à point nommé au regard des difficultés que rencontrent notre pays pour protéger de manière efficace les espaces littoraux dont la contribution à l’économie nationale n’est plus à démontrer’’ a indiqué le ministre.
''Les zones côtières sont parmi les secteurs les plus vulnérables aux effets des changements climatiques au Sénégal. Ces effets se manifestent par l’érosion des plages, la destruction d’habitats, la salinisation des terres, la dégradation de la mangrove'', a t- il souligné.
‘’Ces effets combinés à la pression de plus en plus forte liée à l’occupation anarchique de ces zones, aux activités de développement notamment le tourisme, la pêche et l’agriculture ne peuvent qu’accélérer le phénomène de l’érosion’’, a-t-il expliqué.
APS