L’émetteur avait mis en adjudication 30 milliards de FCFA. Après adjudication, il s’est vu proposer des soumissions de 32,783 milliards de FCFA. Ce qui donne un taux de couverture du montant mis en adjudication de 109,28%.
Le montant des soumissions retenues est de 28,103 milliards de FCFA et celui rejeté à 4,680 milliard de FCFA. Ce qui correspond à un taux d’absorption de 85,72%.
Les investisseurs dont les soumissions sont retenues se retrouveront avec un rendement moyen pondéré de 7,99% pour les bons, 7,75% pour les obligations de 3 ans et 7,52% pour celles de 7 ans.
Les bons sont remboursables le premier jour ouvré suivant la date d’échéance fixée au 17 juillet 2024. Concernant les intérêts, ils sont payables d’avance et précomptés sur leur valeur nominale.
Le Trésor Public du Burkina compte rembourser le capital des obligations le premier jour ouvrable suivant la date d’échéance fixée au 25 mai 2026 pour les obligations de 3 ans et au 11 mai 2030 pour celles de 7 ans. Les intérêts, fixés à 6 % pour les obligations de 3 ans et 6,40% pour celles de 7 ans, sont payables annuellement et ce, dès la fin de la première année.
Oumar Nourou
Le montant des soumissions retenues est de 28,103 milliards de FCFA et celui rejeté à 4,680 milliard de FCFA. Ce qui correspond à un taux d’absorption de 85,72%.
Les investisseurs dont les soumissions sont retenues se retrouveront avec un rendement moyen pondéré de 7,99% pour les bons, 7,75% pour les obligations de 3 ans et 7,52% pour celles de 7 ans.
Les bons sont remboursables le premier jour ouvré suivant la date d’échéance fixée au 17 juillet 2024. Concernant les intérêts, ils sont payables d’avance et précomptés sur leur valeur nominale.
Le Trésor Public du Burkina compte rembourser le capital des obligations le premier jour ouvrable suivant la date d’échéance fixée au 25 mai 2026 pour les obligations de 3 ans et au 11 mai 2030 pour celles de 7 ans. Les intérêts, fixés à 6 % pour les obligations de 3 ans et 6,40% pour celles de 7 ans, sont payables annuellement et ce, dès la fin de la première année.
Oumar Nourou