La directrice générale de l’institution, Christine Lagarde a déploré, dans un entretien à l'Australian Financial Review, les «lents progrès» des pays du G20 qui se sont engagés en février dernier à trouver 2 points de pourcentage supplémentaire de croissance d'ici cinq ans.
«Je ne compte montrer du doigt aucun membre (du G20) en particulier mais (...) la mise en œuvre des engagements pris est lente», a-t-elle déclaré.
«Il y a une forte pression sur les ministres des Finances pour qu'ils prennent des mesures efficaces», a ajouté Mme Lagarde.
Les pays les plus avancés économiquement devraient relever leurs taux d'intérêt, en particulier les Etats-Unis et la Grande-Bretagne, au gré de l'accélération de leur taux de croissance, par crainte de l'inflation, avance le FMI. Mi-juillet, Christine Lagarde avait averti que la croissance en Europe pourrait être «gravement» affectée si l'inflation y demeurait «obstinément basse», appelant la Banque centrale européenne (BCE) à maintenir une «politique monétaire accommodante».
La directrice générale du FMI rappelle, par ailleurs, que les pays émergents montrent également «un ralentissement simultané» et estime que «les deux risques combinés pourraient être dommageables pour l'économie mondiale».
ECOFIN
«Je ne compte montrer du doigt aucun membre (du G20) en particulier mais (...) la mise en œuvre des engagements pris est lente», a-t-elle déclaré.
«Il y a une forte pression sur les ministres des Finances pour qu'ils prennent des mesures efficaces», a ajouté Mme Lagarde.
Les pays les plus avancés économiquement devraient relever leurs taux d'intérêt, en particulier les Etats-Unis et la Grande-Bretagne, au gré de l'accélération de leur taux de croissance, par crainte de l'inflation, avance le FMI. Mi-juillet, Christine Lagarde avait averti que la croissance en Europe pourrait être «gravement» affectée si l'inflation y demeurait «obstinément basse», appelant la Banque centrale européenne (BCE) à maintenir une «politique monétaire accommodante».
La directrice générale du FMI rappelle, par ailleurs, que les pays émergents montrent également «un ralentissement simultané» et estime que «les deux risques combinés pourraient être dommageables pour l'économie mondiale».
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