M. Moralesa précisé que la demande du Kenya sera examinée par le conseil du FMI le 2 février, indiquant que la ligne de crédit pourrait aider ce pays à faire face à un ensemble de chocs potentiels. «Ces chocs pourraient être liés aux conditions météorologiques, à la sécurité ou une baisse de l’indice de confiance des investisseurs susceptible d’impacter négativement les entrées de capitaux», a-t-il souligné.
Le shilling, la monnaie nationale kenyane, a chuté en 2014 dans le sillage d’une série d’attaques terroristes qui ont fait fuir les touristes, privant ainsi le pays de l’une de ses plus importantes sources de devises. Le shilling a aussi baissé de 1,22 % par rapport au dollar depuis début 2015, en raison notamment de la montée en flèche du billet vert.
La ligne de précaution est une facilité de crédit du FMI qui permet d'apporter des financements pour répondre aux besoins réels ou potentiels de balance des paiements des pays qui mènent de bonnes politiques économiques. Elle a été conçue pour servir d'assurance ou pour aider à résoudre les crises liées aux chocs économiques internes ou externes.
L’admission d’un pays à bénéficier de ce type de lignes de crédits témoigne de la solidité de son économie et de sa bonne politique économique. Pour rappel, le Maroc n’a jamais utilisé la ligne de précaution et de liquidité de 6,2 milliards de dollars dont il a bénéficié en août 2012.
Ecofin
Le shilling, la monnaie nationale kenyane, a chuté en 2014 dans le sillage d’une série d’attaques terroristes qui ont fait fuir les touristes, privant ainsi le pays de l’une de ses plus importantes sources de devises. Le shilling a aussi baissé de 1,22 % par rapport au dollar depuis début 2015, en raison notamment de la montée en flèche du billet vert.
La ligne de précaution est une facilité de crédit du FMI qui permet d'apporter des financements pour répondre aux besoins réels ou potentiels de balance des paiements des pays qui mènent de bonnes politiques économiques. Elle a été conçue pour servir d'assurance ou pour aider à résoudre les crises liées aux chocs économiques internes ou externes.
L’admission d’un pays à bénéficier de ce type de lignes de crédits témoigne de la solidité de son économie et de sa bonne politique économique. Pour rappel, le Maroc n’a jamais utilisé la ligne de précaution et de liquidité de 6,2 milliards de dollars dont il a bénéficié en août 2012.
Ecofin