Les dépenses destinées à l’infrastructure dans la région devraient atteindre 180 milliards de dollars par an d’ici 2025, d’après le rapport du cabinet d'audit et de conseil PricewaterhouseCoopers publié hier et intitulé « Projets d’investissement et infrastructure en Afrique de l’Est, en Afrique australe et en Afrique de l’Ouest », annonce la même source.
‘’Plus de la moitié des personnes interrogées ont indiqué qu’elles prévoyaient une augmentation de plus de 25 % par rapport à l’année précédente des dépenses pour l’infrastructure, qu’il s’agisse de nouveaux projets ou de remises en état d’actifs. Elles ont ajouté qu’une grande partie des dépenses serait dédiée à de nouveaux développements, avec 51 % des personnes interrogées prévoyant de dépenser plus de la moitié de leur budget pour l’acquisition de nouveaux actifs. Les personnes interrogées issues d’Afrique de l’Ouest se sont montrées particulièrement optimistes, 58 % d’entre elles prévoyant une augmentation de plus de 25 % de leurs dépenses, contre 53 % en Afrique de l’Est et 40 % en Afrique australe’’.
« La timide reprise économique de la plupart des marchés développés a entraîné un déplacement de l’attention vers des régions affichant une croissance plus rapide », indique Jonathan Cawood, responsable de la division Capital Projects& Infrastructure pour PwC Africa dans le document. Cette constatation s’applique également au secteur du développement de l’infrastructure.
Il ajoute que «L’’abondance des ressources naturelles, les récentes découvertes de gisements de minerais, de pétrole et de gaz, les changements démographiques et politiques ainsi qu’un environnement plus favorable aux investisseurs incitent ces derniers à se tourner résolument vers l’Afrique. »
Ndeye Maguette Kébé
‘’Plus de la moitié des personnes interrogées ont indiqué qu’elles prévoyaient une augmentation de plus de 25 % par rapport à l’année précédente des dépenses pour l’infrastructure, qu’il s’agisse de nouveaux projets ou de remises en état d’actifs. Elles ont ajouté qu’une grande partie des dépenses serait dédiée à de nouveaux développements, avec 51 % des personnes interrogées prévoyant de dépenser plus de la moitié de leur budget pour l’acquisition de nouveaux actifs. Les personnes interrogées issues d’Afrique de l’Ouest se sont montrées particulièrement optimistes, 58 % d’entre elles prévoyant une augmentation de plus de 25 % de leurs dépenses, contre 53 % en Afrique de l’Est et 40 % en Afrique australe’’.
« La timide reprise économique de la plupart des marchés développés a entraîné un déplacement de l’attention vers des régions affichant une croissance plus rapide », indique Jonathan Cawood, responsable de la division Capital Projects& Infrastructure pour PwC Africa dans le document. Cette constatation s’applique également au secteur du développement de l’infrastructure.
Il ajoute que «L’’abondance des ressources naturelles, les récentes découvertes de gisements de minerais, de pétrole et de gaz, les changements démographiques et politiques ainsi qu’un environnement plus favorable aux investisseurs incitent ces derniers à se tourner résolument vers l’Afrique. »
Ndeye Maguette Kébé