
Rappelons que si ces marchés financiers africains connaissent un dynamisme soutenu par une bonne fourchette d'investisseurs locaux, la part de liquidités injectées par les investisseurs étrangers, notamment les fonds d'investissement, reste significative.
Pour l'instant, les sentiments des investisseurs à l'endroit de ces fonds semblent assez positifs. Sur un panier de 78 fonds possédant des actifs en Afrique subsaharienne et suivis par l'Agence Ecofin, seulement 14 d'entre eux affichent une performance négative sur le dernier mois. Des résultats qui sont à suivre dans les prochains jours, d’autant que le FMI a aussi révisé ses perspectives économiques globales pour le continent africain, dans un contexte pourtant marqué par la reprise de l'économie américaine et donc du dollar (principale monnaie de réserves de change pour ces pays).
« La baisse des prix du pétrole et des produits de base expliquent la révision à la baisse des perspectives de croissance pour l’Afrique subsaharienne, et notamment les perspectives plus moroses pour le Nigéria et l’Afrique du Sud », a peut-on lire dans le communiqué de l'institution internationale.
Selon les nouvelles données du FMI, les projections de croissance de la région reculent de 0,9% sur celles d'octobre 2014, se situant désormais à 4,9%. Le Nigéria, première économie du continent, devrait subir la plus grosse dépression, avec une perte de 2,5% de points sur les anticipations de croissance qu'on lui affectait en octobre 2014. L'Afrique du Sud, elle, perd juste 0,2%
Ecofin
Pour l'instant, les sentiments des investisseurs à l'endroit de ces fonds semblent assez positifs. Sur un panier de 78 fonds possédant des actifs en Afrique subsaharienne et suivis par l'Agence Ecofin, seulement 14 d'entre eux affichent une performance négative sur le dernier mois. Des résultats qui sont à suivre dans les prochains jours, d’autant que le FMI a aussi révisé ses perspectives économiques globales pour le continent africain, dans un contexte pourtant marqué par la reprise de l'économie américaine et donc du dollar (principale monnaie de réserves de change pour ces pays).
« La baisse des prix du pétrole et des produits de base expliquent la révision à la baisse des perspectives de croissance pour l’Afrique subsaharienne, et notamment les perspectives plus moroses pour le Nigéria et l’Afrique du Sud », a peut-on lire dans le communiqué de l'institution internationale.
Selon les nouvelles données du FMI, les projections de croissance de la région reculent de 0,9% sur celles d'octobre 2014, se situant désormais à 4,9%. Le Nigéria, première économie du continent, devrait subir la plus grosse dépression, avec une perte de 2,5% de points sur les anticipations de croissance qu'on lui affectait en octobre 2014. L'Afrique du Sud, elle, perd juste 0,2%
Ecofin