Le marché des titres publics de l’Union économique et monétaire Ouest africaine a été performant en 2019. En effet, cette année a été celle de la mobilisation record de 3 420 milliards de francs Cfa mais également de réalisations d’après Adrien Diouf, directeur de l’Agence Umoa-Titres. « IL a d’abord vu la mise en œuvre de notre programme de certification des acteurs du marché qui, nous le pensons, est une étape majeure dans le projet d’édification du marché régional des titres publics », dit-il d’emblée.
Adrien Diouf qui s’exprimait à l’occasion de la deuxième édition des Rencontres du marché des titres publics (Rmtp) de l’Uemoa fait savoir que cette année lesdites rencontres sont inscrites sous le signe de l’innovation financière.
Car, explique-t-il, « l’idée est pour nous de mobiliser toute la sphère financière de notre sous-région pour innover et attirer l’ensemble des investisseurs, qu’ils soient institutionnels (banques, société d’assurance) ou investisseurs particuliers à venir participer à ce marché, acheter des titres et permettre à nos pays de lever des montants nécessaires aux financements de leurs budgets et de leurs projets de développement ».
Après cinq années d’expérience et face aux nombreux défis que nous devons relever, poursuit M. Diouf, il nous a paru essentiel de concevoir un événement autour duquel les bâtisseurs au quotidien de ce marché des titres publics pouvaient se retrouver et échanger pour trouver des pistes d’amélioration. « Un événement qui a été pensé pour être une plateforme de dialogues et d’échanges pour les acteurs de notre écosystème en l’occurrence les investisseurs, les émetteurs, les régulateurs et les fournisseurs de services », appuie le directeur de l’Agence Umoa-Titres.
Qui pense dans la foulée que c’est seulement en développant une synergie entre tous ces acteurs qu’ils peuvent développer leur marché. C’est ainsi, laisse-t-il entendre, « que nous avons conçu les sessions dénommées Focus pays qui vont s’intéresser à chaque fois à la situation économique de deux pays ».
En termes d’innovations, M. Diouf brandit, cette année, les Master class afin de poser les bases d’une culture d’informations continue et de donner des instruments aux acteurs pour des missions et des pratiques qu’ils pourront approfondir mais aussi une fenêtre consacrée, pour cette édition, à la finance verte.
« En 2020 nos actions de développement se poursuivront suivant notamment les axes stratégiques tels que l’amélioration de l’efficience de notre marché, l’élargissement de la base des investisseurs régionaux et internationaux entre autres », conclut Adrien Diouf.
Bassirou MBAYE
Adrien Diouf qui s’exprimait à l’occasion de la deuxième édition des Rencontres du marché des titres publics (Rmtp) de l’Uemoa fait savoir que cette année lesdites rencontres sont inscrites sous le signe de l’innovation financière.
Car, explique-t-il, « l’idée est pour nous de mobiliser toute la sphère financière de notre sous-région pour innover et attirer l’ensemble des investisseurs, qu’ils soient institutionnels (banques, société d’assurance) ou investisseurs particuliers à venir participer à ce marché, acheter des titres et permettre à nos pays de lever des montants nécessaires aux financements de leurs budgets et de leurs projets de développement ».
Après cinq années d’expérience et face aux nombreux défis que nous devons relever, poursuit M. Diouf, il nous a paru essentiel de concevoir un événement autour duquel les bâtisseurs au quotidien de ce marché des titres publics pouvaient se retrouver et échanger pour trouver des pistes d’amélioration. « Un événement qui a été pensé pour être une plateforme de dialogues et d’échanges pour les acteurs de notre écosystème en l’occurrence les investisseurs, les émetteurs, les régulateurs et les fournisseurs de services », appuie le directeur de l’Agence Umoa-Titres.
Qui pense dans la foulée que c’est seulement en développant une synergie entre tous ces acteurs qu’ils peuvent développer leur marché. C’est ainsi, laisse-t-il entendre, « que nous avons conçu les sessions dénommées Focus pays qui vont s’intéresser à chaque fois à la situation économique de deux pays ».
En termes d’innovations, M. Diouf brandit, cette année, les Master class afin de poser les bases d’une culture d’informations continue et de donner des instruments aux acteurs pour des missions et des pratiques qu’ils pourront approfondir mais aussi une fenêtre consacrée, pour cette édition, à la finance verte.
« En 2020 nos actions de développement se poursuivront suivant notamment les axes stratégiques tels que l’amélioration de l’efficience de notre marché, l’élargissement de la base des investisseurs régionaux et internationaux entre autres », conclut Adrien Diouf.
Bassirou MBAYE