En effet, les allocations des bailleurs de fonds aux interventions spécifiques à la nutrition stagnent à 1 milliard de dollars, mais nous estimons que leurs allocations à la nutrition par le biais d’autres secteurs sociaux et de développement augmentent. Les dépenses destinées à combattre les maladies non transmissibles (MNT) liées à la nutrition semblent insuffisantes elles aussi.
«Il ne nous est pas possible d’établir, à l’heure actuelle, le montant que les gouvernements consacrent à la lutte contre ces maladies», souligne les auteurs du rapport.
Toutefois, on apprend qu’en 2014, les bailleurs de fonds ont dépensé 611 millions de dollars pour lutter contre tous les types de maladies non transmissibles – ce qui représente moins de 2 % de leurs dépenses de santé totales. Par ailleurs, bien que les MNT liées à la nutrition représentent près de la moitié de l’ensemble des décès et des cas d’invalidité dans les pays à revenu faible et intermédiaire, les nouvelles données présentées dans ce rapport indiquent que les bailleurs de fonds ont consacré à peine 50 millions de dollars à ces typologies de MNT en 2014.
Pathé TOURE
«Il ne nous est pas possible d’établir, à l’heure actuelle, le montant que les gouvernements consacrent à la lutte contre ces maladies», souligne les auteurs du rapport.
Toutefois, on apprend qu’en 2014, les bailleurs de fonds ont dépensé 611 millions de dollars pour lutter contre tous les types de maladies non transmissibles – ce qui représente moins de 2 % de leurs dépenses de santé totales. Par ailleurs, bien que les MNT liées à la nutrition représentent près de la moitié de l’ensemble des décès et des cas d’invalidité dans les pays à revenu faible et intermédiaire, les nouvelles données présentées dans ce rapport indiquent que les bailleurs de fonds ont consacré à peine 50 millions de dollars à ces typologies de MNT en 2014.
Pathé TOURE