«C’est aux gouvernements, aux entreprises, aux organisations de la société civile et aux individus qu’incombe la lutte contre la malnutrition sous toutes ses formes».
Concrètement, souligne les auteurs du Rapport, l’investissement dans l’élimination de la malnutrition est l’une des mesures les plus rentables que puissent prendre les gouvernements. Parce que chaque dollar investi dans des programmes de nutrition éprouvés offre un retour de 16 dollars. Pour respecter les étapes mondiales clés en matière de nutrition, il reviendra aux gouvernements et aux bailleurs de fonds de tripler leurs engagements en faveur de la nutrition au cours de la prochaine décennie.
Une augmentation rapide des dépenses et l’amélioration subséquente de la nutrition sont possibles, comme l’atteste par exemple l’État indien du Mahārāshtra sur le front de la lutte contre la sous-alimentation. Par ailleurs, les gouvernements, les organisations de la société civile, les bailleurs de fonds et les entreprises doivent redoubler d’efforts pour veiller à ce que les budgets dans divers secteurs agriculture, éducation, systèmes alimentaires, systèmes de santé, protection sociale, et eau, assainissement et hygiène – consacrent davantage de ressources à l’élimination de la malnutrition sous toutes ses formes.
«Enfin, il nous faut commencer à percevoir les investissements en faveur de la nutrition comme autant de vecteurs de la croissance économique, plutôt que de considérer l’amélioration de la nutrition comme le résultat de la croissance économique», philosophe le rapport.
Pathé TOURE
Concrètement, souligne les auteurs du Rapport, l’investissement dans l’élimination de la malnutrition est l’une des mesures les plus rentables que puissent prendre les gouvernements. Parce que chaque dollar investi dans des programmes de nutrition éprouvés offre un retour de 16 dollars. Pour respecter les étapes mondiales clés en matière de nutrition, il reviendra aux gouvernements et aux bailleurs de fonds de tripler leurs engagements en faveur de la nutrition au cours de la prochaine décennie.
Une augmentation rapide des dépenses et l’amélioration subséquente de la nutrition sont possibles, comme l’atteste par exemple l’État indien du Mahārāshtra sur le front de la lutte contre la sous-alimentation. Par ailleurs, les gouvernements, les organisations de la société civile, les bailleurs de fonds et les entreprises doivent redoubler d’efforts pour veiller à ce que les budgets dans divers secteurs agriculture, éducation, systèmes alimentaires, systèmes de santé, protection sociale, et eau, assainissement et hygiène – consacrent davantage de ressources à l’élimination de la malnutrition sous toutes ses formes.
«Enfin, il nous faut commencer à percevoir les investissements en faveur de la nutrition comme autant de vecteurs de la croissance économique, plutôt que de considérer l’amélioration de la nutrition comme le résultat de la croissance économique», philosophe le rapport.
Pathé TOURE