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Selon lui, la concertation dans la gestion, l’harmonisation de nos politiques et stratégies, l’implication de nos populations, constituent pour nous des impératifs sans lesquels, les efforts individuels des pays risquent d’être annihilés.
«C’est dans ce cadre que je salue la décision de la République sœur de Gambie qui a pris récemment la décision d’interdire l’exportation du bois à partir de son territoire. C’est dans ce sens que le Programme Régional de Gestion Durable et Participative des Forets et des Energies Traditionnelles et de Substitution en préparation est d’une importance capitale», dit Mame Thierno Dieng. Ce programme s’inscrit étroitement dans le cadre de coopération déjà définie entre nos pays, notamment le protocole signé entre la République de Gambie et le Sénégal pour la gestion durables des ressources forestières et fauniques.
«Ce Programme, en plus d’être un moyen pour harmoniser nos cadres institutionnels de gestion des ressources forestières, sera une réponse forte et adéquate pour lutter contre les effets néfastes des changements climatiques, notamment par la préservation des fonctions d’approvisionnement, de régulation des écosystèmes, ainsi que la pérennisation des services écosystémiques des forêts», poursuit-il.
De même, il permettra également de réduire les émissions de gaz à effet de serre par la diffusion de foyers améliorés qui reste un puissant levier pour réduire de manière significative la pression sur les ressources forestières. Dans cette même lancée, la promotion des sources d’énergies alternatives au ligneux, telles que le biogaz et le biocharbon constitue un potentiel non négligeable un meilleur mix énergétique dans les combustibles domestiques.
Le ministre de l’Environnement s’est réjoui de l’approche inclusive adoptée dans la préparation du Programme régional, illustrée par le format adopté pour préparer cet atelier avec la participation des autorités administratives, des élus locaux, de la société civile, des organisations communautaires ainsi que des techniciens.
«Je voudrais terminer mon propos en demandant à nos partenaires, particulièrement à la Banque mondiale de multiplier de telles opportunités où les autorités des trois pays pourraient se rencontrer pour assurer un suivi des recommandations qui seront issues de cette assemblée, afin de maintenir un pilotage et un soutien politique fort pour cette initiative entre nos trois pays», conclut-il.
Pathé TOURE
«C’est dans ce cadre que je salue la décision de la République sœur de Gambie qui a pris récemment la décision d’interdire l’exportation du bois à partir de son territoire. C’est dans ce sens que le Programme Régional de Gestion Durable et Participative des Forets et des Energies Traditionnelles et de Substitution en préparation est d’une importance capitale», dit Mame Thierno Dieng. Ce programme s’inscrit étroitement dans le cadre de coopération déjà définie entre nos pays, notamment le protocole signé entre la République de Gambie et le Sénégal pour la gestion durables des ressources forestières et fauniques.
«Ce Programme, en plus d’être un moyen pour harmoniser nos cadres institutionnels de gestion des ressources forestières, sera une réponse forte et adéquate pour lutter contre les effets néfastes des changements climatiques, notamment par la préservation des fonctions d’approvisionnement, de régulation des écosystèmes, ainsi que la pérennisation des services écosystémiques des forêts», poursuit-il.
De même, il permettra également de réduire les émissions de gaz à effet de serre par la diffusion de foyers améliorés qui reste un puissant levier pour réduire de manière significative la pression sur les ressources forestières. Dans cette même lancée, la promotion des sources d’énergies alternatives au ligneux, telles que le biogaz et le biocharbon constitue un potentiel non négligeable un meilleur mix énergétique dans les combustibles domestiques.
Le ministre de l’Environnement s’est réjoui de l’approche inclusive adoptée dans la préparation du Programme régional, illustrée par le format adopté pour préparer cet atelier avec la participation des autorités administratives, des élus locaux, de la société civile, des organisations communautaires ainsi que des techniciens.
«Je voudrais terminer mon propos en demandant à nos partenaires, particulièrement à la Banque mondiale de multiplier de telles opportunités où les autorités des trois pays pourraient se rencontrer pour assurer un suivi des recommandations qui seront issues de cette assemblée, afin de maintenir un pilotage et un soutien politique fort pour cette initiative entre nos trois pays», conclut-il.
Pathé TOURE
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