Organisé par l’Institut Amadeus, le MEDays s’est imposé comme une plateforme incontournable de dialogue Sud-Sud, abordant des sujets aussi variés que la gouvernance, l’éducation, la santé, l’infrastructure et le climat.
Cette année encore, les débats ont mis en lumière les tensions qui traversent un monde multipolaire, tout en explorant des pistes pour renforcer la souveraineté et la résilience des États face aux défis actuels.
La cérémonie de clôture a été marquée par l’intervention de figures politiques de premier plan, notamment les Premiers ministres des Caraïbes. M. Philip J. Pierre (Sainte-Lucie), M. Dickon Mitchell (Grenade) et M. Roosevelt Skerrit (Dominique) ont salué le rôle du Maroc dans le soutien des petits États insulaires, tout en soulignant l’urgence d’une coopération internationale plus équitable.
M. Skerrit a insisté sur la nécessité de réformer le multilatéralisme, tandis que M. Philip J. Pierre a pointé du doigt les grandes puissances pollueuses, appelant les nations du Sud à s’unir pour relever les défis climatiques et socio-économiques.
Du côté marocain, M. Ryad Mezzour, ministre de l’Industrie et du Commerce, a évoqué les progrès réalisés par le Royaume en matière de souveraineté industrielle et d’innovation, affirmant que "pour le peuple du Sud, la résilience est un mode de vie". M. Younes Sekkouri, ministre de l'Inclusion économique, a pour sa part souligné l'importance de la cohésion sociale et de l'éducation pour bâtir des sociétés capables de surmonter les crises.
Avec 55 panels et des centaines de participants venus des quatre coins du globe, le MEDays 2024 a une fois de plus confirmé son rôle de carrefour d’idées et d’actions pour le Sud global.
M. Brahim Fassi Fihri, Président de l’Institut Amadeus, a conclu en ces termes : "Le MEDays n’est pas un slogan. Nous sommes le forum du Sud."
En dépit des incertitudes géopolitiques, ce rendez-vous tangérois a laissé entrevoir la possibilité d’un monde où multipolarité rime avec solidarité, et où les petits comme les grands États pourraient trouver leur place dans un équilibre mondial plus juste et durable.
https://fr.allafrica.com
Cette année encore, les débats ont mis en lumière les tensions qui traversent un monde multipolaire, tout en explorant des pistes pour renforcer la souveraineté et la résilience des États face aux défis actuels.
La cérémonie de clôture a été marquée par l’intervention de figures politiques de premier plan, notamment les Premiers ministres des Caraïbes. M. Philip J. Pierre (Sainte-Lucie), M. Dickon Mitchell (Grenade) et M. Roosevelt Skerrit (Dominique) ont salué le rôle du Maroc dans le soutien des petits États insulaires, tout en soulignant l’urgence d’une coopération internationale plus équitable.
M. Skerrit a insisté sur la nécessité de réformer le multilatéralisme, tandis que M. Philip J. Pierre a pointé du doigt les grandes puissances pollueuses, appelant les nations du Sud à s’unir pour relever les défis climatiques et socio-économiques.
Du côté marocain, M. Ryad Mezzour, ministre de l’Industrie et du Commerce, a évoqué les progrès réalisés par le Royaume en matière de souveraineté industrielle et d’innovation, affirmant que "pour le peuple du Sud, la résilience est un mode de vie". M. Younes Sekkouri, ministre de l'Inclusion économique, a pour sa part souligné l'importance de la cohésion sociale et de l'éducation pour bâtir des sociétés capables de surmonter les crises.
Avec 55 panels et des centaines de participants venus des quatre coins du globe, le MEDays 2024 a une fois de plus confirmé son rôle de carrefour d’idées et d’actions pour le Sud global.
M. Brahim Fassi Fihri, Président de l’Institut Amadeus, a conclu en ces termes : "Le MEDays n’est pas un slogan. Nous sommes le forum du Sud."
En dépit des incertitudes géopolitiques, ce rendez-vous tangérois a laissé entrevoir la possibilité d’un monde où multipolarité rime avec solidarité, et où les petits comme les grands États pourraient trouver leur place dans un équilibre mondial plus juste et durable.
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