‘’Ces prolongements de fêtes sont illégaux tant que nous n'aurons pas adopté une loi les autorisant’’, a indiqué M. Sy, qui s’exprimait sur la radio privée Sud-FM, lors de son émission en langue wolof "Djiakarlo".
Soulignant les pertes que subissent les entreprises publiques et privées à cause de tels comportements, le ministre a rappelé que le contrôle de la ponctualité, de l'assiduité et de l'effectivité du travail revenait aux chefs d’entreprises. Il a jugé peu crédible l’alibi de raréfaction de véhicules de transport public avancé par un grand nombre d'employés pour rester quatre jours durant sans aller au travail, depuis la dernière fête de Tabaski célébrée mercredi.
Interpellé, par ailleurs, sur la situation "difficile" de certaines entreprises locales, M. Sy a fait remarquer que la plupart de ces entités étaient des petites et moyennes entreprises. Le patronat sénégalais a fait état de la fermeture de 232 entreprises au Sénégal, au cours de l’année 2012. A ce propos, le ministre du Travail a affirmé que la plupart de ces unités étaient des entreprises individuelles. ‘’Certaines d’entre elles déclarent faillite pour échapper au fisc’’, selon Mansour Sy, qui a par contre soutenu que quelque ‘’400 autres nouvelles (entreprises) se sont ouvertes en 2013’’.
APS
Soulignant les pertes que subissent les entreprises publiques et privées à cause de tels comportements, le ministre a rappelé que le contrôle de la ponctualité, de l'assiduité et de l'effectivité du travail revenait aux chefs d’entreprises. Il a jugé peu crédible l’alibi de raréfaction de véhicules de transport public avancé par un grand nombre d'employés pour rester quatre jours durant sans aller au travail, depuis la dernière fête de Tabaski célébrée mercredi.
Interpellé, par ailleurs, sur la situation "difficile" de certaines entreprises locales, M. Sy a fait remarquer que la plupart de ces entités étaient des petites et moyennes entreprises. Le patronat sénégalais a fait état de la fermeture de 232 entreprises au Sénégal, au cours de l’année 2012. A ce propos, le ministre du Travail a affirmé que la plupart de ces unités étaient des entreprises individuelles. ‘’Certaines d’entre elles déclarent faillite pour échapper au fisc’’, selon Mansour Sy, qui a par contre soutenu que quelque ‘’400 autres nouvelles (entreprises) se sont ouvertes en 2013’’.
APS