
Selon un communiqué, ces observations figurent parmi les principales conclusions d’une réunion de deux jours tenue à Johannesburg, en Afrique du Sud, qui a rassemblé plus de 100 représentants issus de la sphère gouvernementale, de la société civile et des organismes des Nations Unies dans les pays d’Afrique de l’Est et d’Afrique australe. Les participants étaient invités à discuter et à partager leurs expériences sur l’intégration des deux programmes dans les plans nationaux de développement, et sur les différents outils pratiques dont disposent les pays concernés pour ce faire.
Selon la même source, la réunion avait été convoquée par le Bureau régional pour l’Afrique relevant du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD), en collaboration avec la Commission de l’Union africaine (CUA) et en partenariat avec le gouvernement du Kazakhstan.
Les discussions ont permis de dégager certaines caractéristiques communes aux pays qui ont accompli des progrès en matière d’intégration des ODD dans les plans nationaux, telles qu’une configuration institutionnelle au plus haut niveau politique et une approche multipartite englobant une diversité d’acteurs à travers un comité de pilotage national, à titre d’exemple. Par ailleurs, les participants ont jugé le manque de données comme un défi majeur à l’intégration des programmes de développement dans les plans nationaux, soulignant la nécessité de renforcer les institutions de statistiques.
Pathé TOURE
Selon la même source, la réunion avait été convoquée par le Bureau régional pour l’Afrique relevant du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD), en collaboration avec la Commission de l’Union africaine (CUA) et en partenariat avec le gouvernement du Kazakhstan.
Les discussions ont permis de dégager certaines caractéristiques communes aux pays qui ont accompli des progrès en matière d’intégration des ODD dans les plans nationaux, telles qu’une configuration institutionnelle au plus haut niveau politique et une approche multipartite englobant une diversité d’acteurs à travers un comité de pilotage national, à titre d’exemple. Par ailleurs, les participants ont jugé le manque de données comme un défi majeur à l’intégration des programmes de développement dans les plans nationaux, soulignant la nécessité de renforcer les institutions de statistiques.
Pathé TOURE