La croissance devrait grimper à 5,2 % en 2017, puis se hisser en moyenne à 6,0 % sur la période 2018-21, principalement grâce à l’expansion des industries extractives et à une augmentation des investissements publics et privés. Parmi les principaux risques figurent les externalités négatives des conflits régionaux, la vulnérabilité aux catastrophes naturelles et le repli économique de la sous-région.
Pour 2016, la croissance économique est projetée à 4,6 %, soit un niveau qui dépasse légèrement les 3,5 % enregistrés en 2015, mais qui reste tout juste supérieur au taux de croissance démographique. L’activité a été animée par une solide récolte qui a en outre permis de réduire les prix intérieurs des denrées alimentaires, l’inflation annuelle au regard de l’indice des prix à la consommation étant restée modeste aux alentours 1 %, soit bien en dessous du critère de convergence de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA).
Pathé TOURE
Pour 2016, la croissance économique est projetée à 4,6 %, soit un niveau qui dépasse légèrement les 3,5 % enregistrés en 2015, mais qui reste tout juste supérieur au taux de croissance démographique. L’activité a été animée par une solide récolte qui a en outre permis de réduire les prix intérieurs des denrées alimentaires, l’inflation annuelle au regard de l’indice des prix à la consommation étant restée modeste aux alentours 1 %, soit bien en dessous du critère de convergence de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA).
Pathé TOURE