Dans ses propos, le Premier ministre sénégalais a rappelé l’enjeu mondial que constitue la plateforme « Une seule santé ». « La santé est devenue cet enjeu global avec des interactions entre la santé publique, animale, l’environnement et la sécurité publique et alimentaire », a dit M. Mahammad Boun Abdallah Dionne. A cet effet, M. Dionne de rappeler « l’impérieuse nécessité de la collaboration entre les secteurs de la santé humaine, animale et l’environnement pour apporter des réponses synergiques et efficaces contre les menaces d’épidémies liées aux zoonoses, qu’elles soient naturelles, accidentelles ou délibérées. »
Cette synergie des différents secteurs de la santé et de la sécurité publique trouve, selon lui, tout son sens, face aux menaces d’épidémies, de maladies émergentes et ré-émergentes, la biosécurité, etc.
A cet effet, il s’est félicité de l’élection du Sénégal à la seconde phase de sécurité sanitaire mondiale, un programme financé par le gouvernement américain. L’ambassadeur américain à Dakar, qui assistait à la rencontre, a également appelé à la mobilisation de ressources et rassuré de l’appui technique des Etats-Unis à la plateforme « Une seule santé ».
Selon le ministre sénégalais de la Santé, Me Awa Marie Coll Seck, « l’objectif de cette réunion était de promouvoir l’adoption et la mise en œuvre de l’approche « Une seule santé » en Afrique de l’Ouest, en appui à l’Agenda de sécurité sanitaire mondiale, afin de renforcer l’intégration et la coopération intersectorielle en matière de prévention, de détection et de riposte aux menaces de maladies infectieuses émergentes, notamment les zoonoses et la résistance aux antimicrobiens. »
Cette première rencontre « Une seule santé » (8-11 novembre 2016), avec une approche multisectorielle et multidisciplinaire a enregistré la participation de délégations des 15 pays de la CEDEAO, de la Mauritanie, du Cameroun et du Gabon, ainsi que des différents partenaires, pour 209 participants.
Elle a été organisée par l’OMS, la FAO et divers organismes de santé d’Afrique, entre autres.
Amadou BA
Cette synergie des différents secteurs de la santé et de la sécurité publique trouve, selon lui, tout son sens, face aux menaces d’épidémies, de maladies émergentes et ré-émergentes, la biosécurité, etc.
A cet effet, il s’est félicité de l’élection du Sénégal à la seconde phase de sécurité sanitaire mondiale, un programme financé par le gouvernement américain. L’ambassadeur américain à Dakar, qui assistait à la rencontre, a également appelé à la mobilisation de ressources et rassuré de l’appui technique des Etats-Unis à la plateforme « Une seule santé ».
Selon le ministre sénégalais de la Santé, Me Awa Marie Coll Seck, « l’objectif de cette réunion était de promouvoir l’adoption et la mise en œuvre de l’approche « Une seule santé » en Afrique de l’Ouest, en appui à l’Agenda de sécurité sanitaire mondiale, afin de renforcer l’intégration et la coopération intersectorielle en matière de prévention, de détection et de riposte aux menaces de maladies infectieuses émergentes, notamment les zoonoses et la résistance aux antimicrobiens. »
Cette première rencontre « Une seule santé » (8-11 novembre 2016), avec une approche multisectorielle et multidisciplinaire a enregistré la participation de délégations des 15 pays de la CEDEAO, de la Mauritanie, du Cameroun et du Gabon, ainsi que des différents partenaires, pour 209 participants.
Elle a été organisée par l’OMS, la FAO et divers organismes de santé d’Afrique, entre autres.
Amadou BA