Selon le président de l’institution, le Nigerian Akinwumi Adesina, la présence de plusieurs chefs d’Etat et de gouvernement à la cérémonie d’ouverture, témoigne en effet, s’il en était besoin, de l’impact positif des interventions de la Bad sur le continent africain.
En effet, relève-t-il, « Le Groupe de la Banque africaine de développement soutient fermement les économies africaines. Pour l’illustrer, il fait remarquer qu’en 2023, « notre financement a totalisé plus de 10 milliards de dollars, pour l’ensemble de nos priorités du Top 5 (High 5) qui sont : Éclairer et alimenter l’Afrique en énergie ; Nourrir l’Afrique ; Industrialiser l’Afrique ; Intégrer l’Afrique ; et améliorer la qualité de vie des populations africaines. Ces High 5, ajoute-t-il, « sont les accélérateurs du développement de l’Afrique ».
Selon le président Adesina, l’essentiel pour la Banque africaine de développement est qu’elle tienne ses promesses. Aussi dit-il, « Depuis que nous avons lancé ces High 5 en 2016, notre financement a eu un impact sur la vie de plus de 400 millions de personnes.
L’année dernière, notre travail a eu des impacts significatifs sur tout le continent avec 11 millions d’agriculteurs ayant accès à des technologies agricoles améliorées ; 8 millions de personnes qui ont accès à de nouvelles installations sanitaires ; 3,5 millions de personnes qui ont eu accès à des transports améliorés ; 2,8 millions de personnes qui ont bénéficié de meilleurs services de santé ; sans oublier qu’ 1 million de personnes ont eu accès à l’eau potable ; et plus de 443 000 entreprises ont bénéficié de financement ».
Par ailleurs, le Président Akinwumi Adesina a rappelé que la Banque africaine de développement est très réactive, c’est pourquoi lorsque la guerre russo- Ukrainienne a éclaté, elle a pris d’énormes risques pour assurer la sécurité alimentaire de l’Afrique.
Aujourd’hui encore, le président de la Bad informe les participants à l’ouverture des Assemblées annuelles, que pour prévenir une crise, la Banque a lancé un mécanisme de production alimentaire d’urgence de 1,5 milliard de dollars, afin de soutenir les ambitions de l’Afrique de réduire sa dépendance alimentaire sur une période de deux ans.
Ainsi, en avril 2024, dit-il, « nous avons approuvé des prêts et des dons de 1,496 milliard de dollars pour la production alimentaire d’urgence dans 35 pays. Avec un soutien supplémentaire de 323 millions de dollars du Japon, des États-Unis, de la Norvège, de l’Allemagne et des Pays-Bas, nous avons engagé plus de 1,8 milliard de dollars dans 35 pays. Je suis heureux d’annoncer que nous avons touché 10,5 millions d’agriculteurs et soutenu la production de 26 millions de tonnes de nourriture, évaluées à 10,79 milliards de dollars, soit 90 % de notre valeur marchande cible », a fait savoir Akinwumi Adesina.
Le Groupe de la Banque africaine de développement, est un partenaire stratégique de choix, auquel les pays font confiance a déclaré M. Adesina. Ici, au Kenya, a-t-il dit, notre soutien fait une énorme différence. Je voudrais à ce titre citer les propos tenus par son excellence le Président William Ruto qui me l’a indiqué lors de ma visite, en effet, « grâce à la Banque africaine de développement » a-t-il, « nous avons fait passer le nombre de ménages connectés à l’électricité de 2,5 millions à plus de 10 millions d’ici 2023. ».
J’ai pu m’en rendre compte sur le terrain, lors d’un de mes voyages dans un village où la Banque soutenait la connectivité à l’électricité pour les ménages à faible revenu. Le témoignage de la dame que j’y ai rencontré, qui s’appelait Grace (pas mon épouse , Grace !). Sur l’impact de notre travail ici, ses propos sont éloquents. En effet, lorsqu’on lui a demandé si elle connaissait le Dr Adesina, elle a répondu « non », et lorsqu’on lui a demandé si elle savait que la Banque africaine de développement avait financé le projet, elle a répondu par la négative avant d’ajouter : « Tout ce que je sais, c’est que nous étions autrefois dans les ténèbres, maintenant nous avons la lumière ».
Pour le Président Adésina qui affichait une mine satisfaite « l’impact de la Bad se fait sentir et se mesure, là où celui -ci est le plus attendu , dans la vie des personnes que nous servons.
Ismaïla BA, Envoyé spécial à Nairobi
En effet, relève-t-il, « Le Groupe de la Banque africaine de développement soutient fermement les économies africaines. Pour l’illustrer, il fait remarquer qu’en 2023, « notre financement a totalisé plus de 10 milliards de dollars, pour l’ensemble de nos priorités du Top 5 (High 5) qui sont : Éclairer et alimenter l’Afrique en énergie ; Nourrir l’Afrique ; Industrialiser l’Afrique ; Intégrer l’Afrique ; et améliorer la qualité de vie des populations africaines. Ces High 5, ajoute-t-il, « sont les accélérateurs du développement de l’Afrique ».
Selon le président Adesina, l’essentiel pour la Banque africaine de développement est qu’elle tienne ses promesses. Aussi dit-il, « Depuis que nous avons lancé ces High 5 en 2016, notre financement a eu un impact sur la vie de plus de 400 millions de personnes.
L’année dernière, notre travail a eu des impacts significatifs sur tout le continent avec 11 millions d’agriculteurs ayant accès à des technologies agricoles améliorées ; 8 millions de personnes qui ont accès à de nouvelles installations sanitaires ; 3,5 millions de personnes qui ont eu accès à des transports améliorés ; 2,8 millions de personnes qui ont bénéficié de meilleurs services de santé ; sans oublier qu’ 1 million de personnes ont eu accès à l’eau potable ; et plus de 443 000 entreprises ont bénéficié de financement ».
Par ailleurs, le Président Akinwumi Adesina a rappelé que la Banque africaine de développement est très réactive, c’est pourquoi lorsque la guerre russo- Ukrainienne a éclaté, elle a pris d’énormes risques pour assurer la sécurité alimentaire de l’Afrique.
Aujourd’hui encore, le président de la Bad informe les participants à l’ouverture des Assemblées annuelles, que pour prévenir une crise, la Banque a lancé un mécanisme de production alimentaire d’urgence de 1,5 milliard de dollars, afin de soutenir les ambitions de l’Afrique de réduire sa dépendance alimentaire sur une période de deux ans.
Ainsi, en avril 2024, dit-il, « nous avons approuvé des prêts et des dons de 1,496 milliard de dollars pour la production alimentaire d’urgence dans 35 pays. Avec un soutien supplémentaire de 323 millions de dollars du Japon, des États-Unis, de la Norvège, de l’Allemagne et des Pays-Bas, nous avons engagé plus de 1,8 milliard de dollars dans 35 pays. Je suis heureux d’annoncer que nous avons touché 10,5 millions d’agriculteurs et soutenu la production de 26 millions de tonnes de nourriture, évaluées à 10,79 milliards de dollars, soit 90 % de notre valeur marchande cible », a fait savoir Akinwumi Adesina.
Le Groupe de la Banque africaine de développement, est un partenaire stratégique de choix, auquel les pays font confiance a déclaré M. Adesina. Ici, au Kenya, a-t-il dit, notre soutien fait une énorme différence. Je voudrais à ce titre citer les propos tenus par son excellence le Président William Ruto qui me l’a indiqué lors de ma visite, en effet, « grâce à la Banque africaine de développement » a-t-il, « nous avons fait passer le nombre de ménages connectés à l’électricité de 2,5 millions à plus de 10 millions d’ici 2023. ».
J’ai pu m’en rendre compte sur le terrain, lors d’un de mes voyages dans un village où la Banque soutenait la connectivité à l’électricité pour les ménages à faible revenu. Le témoignage de la dame que j’y ai rencontré, qui s’appelait Grace (pas mon épouse , Grace !). Sur l’impact de notre travail ici, ses propos sont éloquents. En effet, lorsqu’on lui a demandé si elle connaissait le Dr Adesina, elle a répondu « non », et lorsqu’on lui a demandé si elle savait que la Banque africaine de développement avait financé le projet, elle a répondu par la négative avant d’ajouter : « Tout ce que je sais, c’est que nous étions autrefois dans les ténèbres, maintenant nous avons la lumière ».
Pour le Président Adésina qui affichait une mine satisfaite « l’impact de la Bad se fait sentir et se mesure, là où celui -ci est le plus attendu , dans la vie des personnes que nous servons.
Ismaïla BA, Envoyé spécial à Nairobi