La cérémonie d’ouverture a vu la participation des présidents d’Egypte (Abdel Fata Al Sisi), des Comores (Azali Asoumani) et du Zimbabwe (Emerson Nangagwa). Il y a aussi le président de la Commission de l’Union africaine, Moussa Faki Mohamed. Près de quatre mille (4000) personnes prennent part à ce rendez-vous annuel.
Le thème cette année est « Mobiliser les financements du secteur privé en faveur du climat et de la croissance verte en Afrique ». Il offre aux gouverneurs du Groupe de la Banque un cadre leur permettant de partager leurs expériences, en matière de mobilisation des financements du secteur privé national et international et d'exploitation du capital naturel des pays membres régionaux (Pmr), afin de combler le déficit de financement climatique et de promouvoir la transition vers la croissance verte en Afrique. Au cours de la cérémonie, les chefs d’Etat présents et le président de la Bad tout comme le président de l’Union africaine ont mis en exergue les besoins de financement du continent africain.
Dans son discours, le président de la Bad est revenu sur le besoin de financement pour faire face aux défis climatiques. Pour Akinwumi Adesina, 14 milliards de dollars à mobiliser pour faire face aux effets des changements climatiques. Il a indiqué que la Bad a pris des initiatives pour l’adaptation climatique. Il cite ainsi, le Centre pour l’adaptation, l’Alliance africaine pour le climat. «Nous devons faire plus concernant le secteur des infrastructures. Il faut doper les investissements privés dans les énergies renouvelables », a déclaré le patron de la Bad.
Ouvrant les travaux, le président de la République arabe d’Egypte juge important de répondre aux besoins de financement. Al Sisi dit espérer que les pays africains seront accompagnés par les organisations internationales. Selon lui, les banques multilatérales de développement ont un rôle à jouer dans le financement des investissements en Afrique.
Prenant la parole, le président des Comores, Azaly Assoumani est revenu sur le thème de cette édition. Pour le président en exercice de l’Union africaine, la mobilisation des ressources financières est importante pour contenir les risques et catastrophes : changements climatiques, sécheresse, inondation entrainent des pertes en vies humaines, déplacement de population. Selon lui, il est possible de faire face grâce à l’implication de notre secteur privé et une réelle mobilisation des ressources. M. Azaly juge important d’encourager l’investissement du secteur privé en Afrique. Il a ajouté que les banques multilatérales de développement doivent jouer leur partition en accroissant le volume de financement. Le chef de l’Etat encourage la Bad à accompagner le secteur privé africain dans sa quête de financement vert.
Pour le président de la Commission de l’Union africaine, il y a urgence de convenir sur des sources de financements appropriées. Dans son discours, il n’a pas manqué de revenir sur les nombreux défis du continent.
Ismaila BA, Sharm El Sheikh, Egypte
Le thème cette année est « Mobiliser les financements du secteur privé en faveur du climat et de la croissance verte en Afrique ». Il offre aux gouverneurs du Groupe de la Banque un cadre leur permettant de partager leurs expériences, en matière de mobilisation des financements du secteur privé national et international et d'exploitation du capital naturel des pays membres régionaux (Pmr), afin de combler le déficit de financement climatique et de promouvoir la transition vers la croissance verte en Afrique. Au cours de la cérémonie, les chefs d’Etat présents et le président de la Bad tout comme le président de l’Union africaine ont mis en exergue les besoins de financement du continent africain.
Dans son discours, le président de la Bad est revenu sur le besoin de financement pour faire face aux défis climatiques. Pour Akinwumi Adesina, 14 milliards de dollars à mobiliser pour faire face aux effets des changements climatiques. Il a indiqué que la Bad a pris des initiatives pour l’adaptation climatique. Il cite ainsi, le Centre pour l’adaptation, l’Alliance africaine pour le climat. «Nous devons faire plus concernant le secteur des infrastructures. Il faut doper les investissements privés dans les énergies renouvelables », a déclaré le patron de la Bad.
Ouvrant les travaux, le président de la République arabe d’Egypte juge important de répondre aux besoins de financement. Al Sisi dit espérer que les pays africains seront accompagnés par les organisations internationales. Selon lui, les banques multilatérales de développement ont un rôle à jouer dans le financement des investissements en Afrique.
Prenant la parole, le président des Comores, Azaly Assoumani est revenu sur le thème de cette édition. Pour le président en exercice de l’Union africaine, la mobilisation des ressources financières est importante pour contenir les risques et catastrophes : changements climatiques, sécheresse, inondation entrainent des pertes en vies humaines, déplacement de population. Selon lui, il est possible de faire face grâce à l’implication de notre secteur privé et une réelle mobilisation des ressources. M. Azaly juge important d’encourager l’investissement du secteur privé en Afrique. Il a ajouté que les banques multilatérales de développement doivent jouer leur partition en accroissant le volume de financement. Le chef de l’Etat encourage la Bad à accompagner le secteur privé africain dans sa quête de financement vert.
Pour le président de la Commission de l’Union africaine, il y a urgence de convenir sur des sources de financements appropriées. Dans son discours, il n’a pas manqué de revenir sur les nombreux défis du continent.
Ismaila BA, Sharm El Sheikh, Egypte